L'individu s'oppose à la collectivité, mais il s'en nourrit. Et l'important est bien moins de savoir à quoi il s'oppose que ce dont il se nourrit.

L'individu s'oppose à la collectivité, mais il s'en nourrit. Et l'important est bien moins de savoir à quoi il s'oppose que ce dont il se nourrit.

André Malraux est l'auteur de la citation sur la vie "L'individu s'oppose à la collectivité, mais il s'en nourrit. Et l'important est bien moins de savoir à quoi il s'oppose que ce dont il se nourrit.".
André Malraux est également l'auteur des citations :

• La vie ne vaut rien mais rien ne vaut la vie.
• Une vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie.
• Ceux qui croient que le pouvoir est amusant confondent "pouvoir" et "abus de pouvoir".
• Toute civilisation est hantée, visiblement ou invisiblement, par ce qu'elle pense de la mort.
• Les idées ne sont pas faites pour être pensées mais vécues.
• Le plus difficile n'est pas d'être avec ses amis quand ils ont raison, mais quand ils ont tort.
• La révolution, c'est les vacances de la vie.
• La musique seule peut parler de la mort.
• L'homme ne se construit qu'en poursuivant ce qui le dépasse.
• On ne peut communiquer même avec la mort... C'est le plus difficile mais peut-être est-ce le sens de la vie...
• La tendresse inspirée par la mort fait aimer les vivants qui l'éprouvent.
• Un homme est la somme de ses actes, de ce qu'il fait, de ce qu'il peut faire. Rien d'autre.
• Le fou copie l'artiste, et l'artiste ressemble au fou.
• Je mens, mais mes mensonges deviennent des vérités.
• Entre 18 et 20 ans, la vie est comme un marché où l’on achète des valeurs non avec de l’argent, mais avec des actes. La plupart des hommes n’achètent rien.
• Pour l’intellectuel, le chef politique est nécessairement un imposteur puisqu’il enseigne à résoudre les problèmes de la vie en ne les posant pas.
• Si l'on y réfléchit bien, le Christ est le seul anarchiste qui ait vraiment réussi.
• Il y a des oeuvres qui font passer le temps, et d’autres qui expliquent le temps.
• La vérité d’un homme c’est d’abord ce qu’il cache.
• Il existe une télévision pour passer le temps et une autre pour comprendre le temps.
• Quand les hommes sortent de prison, neuf fois sur dix leur regard ne se pose plus. Ils ne regardent plus comme des hommes.
• Comment sont nées les barricades ? Pour lutter contre les cavaleries royales, le peuple n'ayant jamais de cavalerie.
• La sagesse est plus vulnérable que la beauté ; car la sagesse est un art impur.
• La mort n’est pas une chose si sérieuse ; la douleur, oui.
• L'art est la présence dans la vie de ce qui devrait appartenir à la mort ; le musée est le seul lieu du monde qui échappe à la mort.
• La mort est là comme la preuve irréfutable de l'absurdité de la vie.
• Etre aimé sans séduire est un des beaux destins de l'homme.
• La tragédie de la mort est en ceci qu'elle transforme la vie en destin.
• L'amitié, ce n'est pas d'être avec ses amis quand ils ont raison, c'est d'être avec eux même quand ils ont tort.
• La liberté appartient à ceux qui l’ont conquise.
• Il y a des guerres justes. Il n'y a pas d'armée juste.
• L'espoir des hommes, c'est leur raison de vivre et de mourir.
• Il n'y pas cinquante manières de combattre, il n'y a en qu'une, c'est d'être vainqueur.
• L’absence de finalité donnée à la vie est devenue une condition de l’action.
• Les fascistes, au fond, croient toujours à la race de celui qui commande.
• Il n’y a pas de héros sans auditoire.
• L'intelligence, c'est la tentation vaine de se passer du temps.
• Les hommes ne meurent que pour ce qui n'existe pas.