Mais sait-on quels sont les sages et quels sont les fous, dans cette vie où la raison devrait souvent s'appeler sottise et la folie s'appeler génie ?
Citation sur la vie de Guy de Maupassant :Mais sait-on quels sont les sages et quels sont les fous, dans cette vie où la raison devrait souvent s'appeler sottise et la folie s'appeler génie ?
Guy de Maupassant est l'auteur de la citation sur la vie "Mais sait-on quels sont les sages et quels sont les fous, dans cette vie où la raison devrait souvent s'appeler sottise et la folie s'appeler génie ?".
Guy de Maupassant est également l'auteur des citations :
- Aucun coin de la terre n'a donné lieu, plus que Venise, à cette conspiration de l'enthousiasme.
- Une oeuvre d'art n'est supérieure que si elle est, en même temps, un symbole et l'expression exacte d'une réalité.
- Une vie ! Quelques jours, et puis plus rien !
- Le réaliste, s’il est un artiste, cherchera, non pas à nous montrer la photographie banale de la vie, mais à nous en donner la vision plus complète, plus saisissante, plus probante que la réalité même
- Le baiser frappe comme la foudre, l’amour passe comme un orage, puis la vie, de nouveau, se calme comme le ciel, et recommence ainsi qu’avant. Se souvient-on d’un nuage ?
- Le suicide ! Mais c'est la force de ceux qui n'en ont plus, c'est l'espoir de ceux qui ne croient plus, c'est le sublime courage des vaincus.
- On finirait par devenir fou, ou par mourir, si on ne pouvait pas pleurer.
- L'être moral de chacun de nous reste éternellement seul par la vie.
- On passe les trois quarts de sa vie à vouloir, sans faire.
- La mort. Que ce mot, si court, est insondable et terrible !
- J’ai quitté Paris et même la France, parce que la tour Eiffel finissait par m’ennuyer trop.
- Le regard moderne sait voir la gamme infinie des nuances.
- La vie, voyez-vous, ça n'est jamais si bon ni si mauvais qu'on croit.
- Une femme a toujours, en vérité, la situation qu'elle impose par l'illusion qu'elle sait produire.
- L'oeil, songez à lui. Il boit la vie apparente pour en nourrir la pensée. Il boit le monde, la couleur, le mouvement, les livres, les tableaux, tout ce qui est beau et tout ce qui est laid, et il en fait des idées.
- Nos yeux, nos oreilles, notre odorat, notre goût diffèrent, créent autant de vérités qu'il y a d'hommes sur la terre.
- On aime sa mère presque sans le savoir, sans le sentir, car cela est naturel comme de vivre.
- Comment peut-on ne pas adorer les cloîtres, ces lieux tranquilles, fermés et frais, inventés, semble-t-il, pour faire naître la pensée pendant qu’on va à pas lents sous les longues arcades mélancoliques ?