
Nous devons prendre conscience que le travail ne constitue plus, désormais, l'essentiel d'une vie.
Citation sur la vie de Jacques Chirac :Nous devons prendre conscience que le travail ne constitue plus, désormais, l'essentiel d'une vie.
Jacques Chirac est l'auteur de la citation sur la vie "Nous devons prendre conscience que le travail ne constitue plus, désormais, l'essentiel d'une vie.".
Jacques Chirac est également l'auteur des citations :
- Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis, c'est ce que j'ai toujours dit.
- Le changement est la loi de la vie humaine, il ne faut pas en avoir peur.
- Le changement est d'abord un état d'esprit.
- Dans un environnement qui change, il n'y a pas de plus grand risque que de rester immobile.
- Nos pires ennemis sont en nous-mêmes.
- L'espérance est un combat qui exige du coeur et de l'imagination.
- Chaque pas doit être un but.
- On greffe de tout aujourd'hui, des reins, des bras, un coeur. Sauf les couilles. Par manque de donneur.
- Les promesses n'engagent que ceux qui les reçoivent.
- Il y a plus d'idées dans deux têtes que dans une.
- Dans la vie il y a des hauts et des bas. Il faut surmonter les hauts et repriser les bas.
- On attend tout de l'école, ce qui est le plus sûr moyen de ne rien obtenir d'elle.
- Prenons garde que notre esprit critique ne se transforme en esprit de dénigrement systématique.
- Trop de jeunes se croient sans avenir, alors qu'ils sont sans objectif.
- Notre maison brûle et nous regardons ailleurs.
- Rien ne peut justifier le développement de la pensée raciste.
- Le pessimisme ouvre la voie à tous les renoncements.
- Lorsque j'engage un combat, il ne me vient pas à l'idée que je puisse le perdre.
- Les moyens ne sont jamais adéquats quand le but est mal défini.
- Mobilité et stabilité ne sont pas antinomiques : un cycliste n'est stable sur sa bicyclette qu'en avançant.
- Il y a déjà tellement de jeunes qui sont vieux que ce n'est pas la peine de rajouter des vieux qui veulent jouer les jeunes.
- Quand on veut défendre les libertés, on est bien obligé de constater que l'on va à contre-courant de l'histoire.
- La guerre, c'est toujours un ultime recours, c'est toujours un constat d'échec, c'est toujours la pire des solutions, parce qu'elle amène la mort et la misère.
- Rien ne se fait dans les sociétés de grand ou de durable autrement que porté par la foi.
- Rassembler est un idéal : les hommes sont divisés à l'intérieur d'eux-mêmes, comment ne le seraient-ils pas dans la vie sociale ?
- Celui-là il faut lui marcher dessus: d'abord il ne comprend que ça et en plus il paraît que ça porte bonheur.
- Le temps de l’enfance est court. Il ne se rattrape pas.
- Quand le peuple perd l'espoir, sa colère finit toujours par s'exprimer.
- Les anciens savaient que la clé des songes est aussi celle de l’équilibre et du bonheur, et recommandaient la pratique de la sieste.
- La véritable démocratisation de l’école est celle qui donne à chaque enfant le maximum de chances.