C'est une constatation que sont obligés de faire quelquefois certains hommes : que de sots ont facilement ce qu'ils n'ont pas.
Citation sur la vie de Paul Léautaud :C'est une constatation que sont obligés de faire quelquefois certains hommes : que de sots ont facilement ce qu'ils n'ont pas.
Paul Léautaud est l'auteur de la citation sur la vie "C'est une constatation que sont obligés de faire quelquefois certains hommes : que de sots ont facilement ce qu'ils n'ont pas.".
Paul Léautaud est également l'auteur des citations :
- Pauvreté n'est pas vice. Parbleu ! Un vice est agréable.
- Le seul moyen de se délivrer d'une tentation, c'est d'y céder. Résistez et votre âme se rend malade à force de languir ce qu'elle s'interdit.
- La première patrie, quand on est ici-bas, c’est la vie.
- Ne rentrez jamais chez vous à l'improviste : si votre femme n'est pas seule, vous l'ennuierez ; si elle est seule, vous vous ennuierez.
- La trahison peut être le fait d'une intelligence supérieure, entièrement affranchie des idéologies civiques.
- Je n'ai rien vu de grand dans la vie que la cruauté et la bêtise.
- Je n’ai jamais été capable de grands sentiments : ils me font rire.
- Au-dessus du devoir, il y a le bonheur.
- La méfiance est toujours pour moi une des formes de l'intelligence. La confiance une des formes de la bêtise.
- Être grave dans sa jeunesse, cela se paie souvent par une nouvelle jeunesse dans l'âge mûr.
- C'est un talent de savoir se moquer de ce qu'on n'a pas.
- Le plus grand nombre est bête, il est vénal, il est haineux. C'est le plus grand nombre qui est tout. Voilà la démocratie.
- Le mensonge compte bien plus que la vérité. La preuve : n'est-il pas répandu à bien plus d'exemplaires ?
- Dans le mariage, on fait l’amour par besoin, par devoir. Dans l’amour, on fait l’amour par amour.
- Les hommes sensibles préfèrent sortir le soir au matin, la nuit au jour, et la beauté des femmes mûres à celle des jeunes filles.
- Il n'est de plaisir qu'en imagination.
- Il vous vient quelquefois un dégoût d'écrire en songeant à la quantité d'ânes par lesquels on risque d'être lu.