Il n'y a rien comme d'être mal portant pour apprécier la vie ! Il faut souffrir pour comprendre ; et comprendre, n'est-ce pas la plus grande richesse ?
Citation sur la vie de Gabrielle Roy :Il n'y a rien comme d'être mal portant pour apprécier la vie ! Il faut souffrir pour comprendre ; et comprendre, n'est-ce pas la plus grande richesse ?
Gabrielle Roy est l'auteur de la citation sur la vie "Il n'y a rien comme d'être mal portant pour apprécier la vie ! Il faut souffrir pour comprendre ; et comprendre, n'est-ce pas la plus grande richesse ?".
Gabrielle Roy est également l'auteur des citations :
- Quand on aime la vie, c'est alors qu'elle même nous aime le plus, comme par un prodige d'entente.
- Presque tous les humains, au fond, sont nos amis, pourvu qu'on leur laisse la chance, qu'on se remette entre leurs mains et qu'on leur laisse voir le moindre signe d'amitié.
- Tant que l'on n'a pas été contenu en un regard, a-t-on la vie ? A-t-on la vie si personne encore ne nous a aimé ?
- Il ne faut jamais dire que l'espoir est mort. Ça ne meurt pas, l'espoir.
- La mort n'est-elle pas cela justement, un sommeil sans obligation et sans peine.
- Ce bruit de soupir, d'inquiétudes, que fait le temps qui passe.
- De tous les biens que nous recevons, aucun ne nous fait plus de mal malgré tout que les amis, avec leur confiance en nous, leur espoir... leur attente.
- Peut-être les lucioles ne vivent-elles que le temps de briller un instant d'un vif éclat. Comme nous tous d'ailleurs !
- En tant de choses de nos vies persiste un élément imprécis, inexplicable, qui nous fait douter de leur réalité.
- Tout homme est rare et inimitable par ce que la vie a fait de lui ou lui d'elle ; sait-on comment tout cela se juxtapose, se mêle et se pénètre ?
- Et si c'est cela la vie : retrouver son enfance, alors, à ce moment-là, lorsque la vieillesse l'a rejointe un beau jour, la petite ronde doit être presque finie, la fête terminée.
- Il ne faut pas vouloir dévorer la vie.
- La joie de l'homme doit être inépuisable, aucune vie ne serait jamais assez longue pour dire ce qu'à elle seule elle en peut contenir.
- La mort du présent n'est rien ; c'est la perte de l'avenir en soi qui est déchirante.