On ne dit jamais rien parce qu'on parle tout le temps.
Citation sur la vie d'Eric-Emmanuel Schmitt :On ne dit jamais rien parce qu'on parle tout le temps.
Eric-Emmanuel Schmitt est l'auteur de la citation sur la vie "On ne dit jamais rien parce qu'on parle tout le temps.".
Eric-Emmanuel Schmitt est également l'auteur des citations :
- La mort, nous privant de toute possibilité de souffrance, doit être attendue comme une béatitude.
- Le seul moyen d'être sage est d'envisager la mort comme une fête.
- Le romancier est celui qui célèbre la vie humaine et sa complexité.
- Non, la mort n'est pas injuste puisque tu ne sais pas ce qu'est la mort.
- Les hommes gardent les portes de la société, qui engendre des morts et développe la haine. Les femmes gardent les portes de la nature, qui fabrique la vie et exige de l'amour.
- La mort n'est que la mort ; on ne signifie rien par sa mort mais on la subit.
- La musique nous aide à construire nos vies spirituelles, nous apaise, nous console, nous redonne de la joie, nous rend allègre, nous fait danser, chanter.
- Une rencontre, c'est quelque chose de décisif, une porte, une fracture, un instant qui marque le temps et crée un avant et un après.
- Ce qu'il y a de beau dans un mystère, c'est le secret qu'il contient et non la vérité qu'il cache.
- La vérité n'est jamais une ; c'est pour cela qu'elle n'existe pas.
- La vérité au singulier, c'est une victoire, c'est une défaite, c'est un armistice. Mais ce n'est ni la vérité, ni la paix.
- Qu'est ce que la justice ? La même chose pour tous ? Dieu nous donne à tous, également, la vie puis la mort. Le reste dépend des hommes et des circonstances.
- La seule chose que nous apprend la mort est qu'il est urgent d'aimer.
- Le bonheur suppose que l'on refuse de voir le monde tel qu'il est.
- Les hommes attendent parfois de la vie quelque chose qu'elle ne leur donnera pas, et cette attente idiote, c'est leur but, leur passion. Pourquoi les hommes rendent-ils creux ce qui est plein ?
- Le bonheur est à l'écart, fait de huis clos, de volets tirés, d'oubli des autres, de murailles infranchissables.