
La mort vient avant que nous puissions avoir appris à vivre.
Citation sur la vie de Jacques-Bénigne Bossuet :La mort vient avant que nous puissions avoir appris à vivre.
Jacques-Bénigne Bossuet est l'auteur de la citation sur la vie "La mort vient avant que nous puissions avoir appris à vivre.".
Jacques-Bénigne Bossuet est également l'auteur des citations :
- C'est trop se laisser surprendre aux vaines descriptions des peintres et des poètes, que de croire la vie et la mort autant semblables que les uns et les autres nous les figurent.
- Apprenons, avant toutes choses, à n'être pas éblouis du bonheur qui ne remplit pas le coeur de l'homme.
- Qu'est-ce que mille ans, puisqu'un seul moment les efface ?
- Par la constitution de la justice de cette vie, l’amour de Dieu ne parvient jamais à l’entière extinction de l’amour-propre.
- Le bon usage de la liberté quand il se tourne en habitude, s’appelle vertu ; et le mauvais usage de la liberté quand il se tourne en habitude s’appelle vice.
- Le temps découvre les secrets ; le temps fait naître les occasions ; le temps confirme les bons conseils.
- Notre vie est toujours emportée par le temps, qui ne cesse de nous échapper.
- Les vraies études sont celles qui apprennent les choses à la vie humaine.
- Toutes nos pensées qui n'ont pas Dieu pour objet sont du domaine de la mort.
- La foi est une adhérence de coeur à la vérité éternelle.
- Le bonheur humain est composé de tant de pièces qu'il en manque toujours.
- Quand une fois on a trouvé le moyen de prendre la multitude par l'appât de la liberté, elle suit en aveugle, pourvu qu'elle en entende seulement le nom.
- Nous entrons dans la vie avec la loi d'en sortir ; nous venons faire notre personnage et il nous faudra ensuite disparaître.
- Où il n’y a point de maître, tout le monde est maître ; où tout le monde est maître, tout le monde est esclave.
- La science des occasions et des temps est la principale partie des affaires.
- Il est véritable que qui ôte à l'esprit la réflexion lui ôte toute sa force.
- Dieu veut que nous vivions au milieu du temps dans l'attente perpétuelle de l'éternité.