Est-ce que ranger ça ne revient pas un peu à foutre le bordel dans son désordre ?
Citation drôles de Philippe Geluck :Est-ce que ranger ça ne revient pas un peu à foutre le bordel dans son désordre ?
Philippe Geluck est l'auteur de la citation drôles "Est-ce que ranger ça ne revient pas un peu à foutre le bordel dans son désordre ?".
Philippe Geluck est également l'auteur des citations :
- Au fond, est-ce que ranger ça ne revient pas un peu à foutre le bordel dans son désordre ?
- Avec le temps qui passe ceux qui étaient con le restent et ceux qui ne l’étaient pas le deviennent.
- Je voudrais mettre en garde les journaux à scandale. Ma vie sexuelle n'intéresse personne. Même pas ma femme.
- Un humoriste désespéré Doit se dire que la vie Est un jeu de maux.
- La vie est une sorte de machine à voyager dans le temps.
- Depuis qu’on calcule le temps olympique en millièmes de secondes, un type qui a un grand nez a plus de chances que les autres.
- J’essaye de noyer mon chagrin dans l’alcool mais depuis le temps... il appris à nager, mon chagrin.
- Il y a un proverbe chinois qui ne dit rien. Il m’arrive de le citer quand je n’ai rien à dire...
- Je suis pour le partage des tâches ménagères. A la maison, par exemple, c'est moi qui passe l'aspirateur... à ma femme.
- La mort, c'est un peu comme une connerie. Le mort, lui, il ne sait pas qu'il est mort. Ce sont les autres qui sont tristes. Le con, c'est pareil.
- Si tu donnes à quelqu'un un poisson que tu as volé, il mangera une fois. Si tu lui apprends à voler, il mangera toute sa vie.
- Certains papillons ne vivent qu’une journée et en général il s’agit pour eux du plus beau jour de leur vie...
- Il y a un proverbe chinois qui dit : quand on est une mouche, on a souvent des amis dans le besoin.
- A la question : faites vous encore confiance aux instituts de sondage ? 64% des Français répondent non. Et 59% répondent oui.
- Je bouffe de temps en temps des asticots pour assouvir un sentiment de vengeance par anticipation.
- La vie, c'est un peu comme une pièce de théâtre, dont nous serions les acteurs... et les autres, le public. Mais à la fin, on ne vient pas saluer. On meurt sur scène comme Molière.