En suivant le chemin qui s'appelle plus tard, nous arrivons sur la place qui s'appelle jamais.
Citation sur la motivation de Sénèque :En suivant le chemin qui s'appelle plus tard, nous arrivons sur la place qui s'appelle jamais.
Sénèque est l'auteur de la citation sur la motivation "En suivant le chemin qui s'appelle plus tard, nous arrivons sur la place qui s'appelle jamais.".
Sénèque est également l'auteur des citations :
- Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles.
- À force de remettre à plus tard, la vie nous dépasse.
- Nous ne manquons pas de temps, mais nous en avons beaucoup dont nous ne savons pas tirer profit.
- Le plus grand obstacle à la vie est l'attente ; celui qui espère demain, néglige aujourd'hui.
- Qui méprise sa vie est maître de celle d'autrui.
- Le temps d'une vie est la seule propriété de l'homme. Il faut l'utiliser pleinement, à fond. Créer une infinité de chemins dans cet espace fini.
- Si tu ne sais pas vers quel port tu mets les voiles, aucun vent ne te sera jamais favorable.
- L'essentiel est l'emploi de la vie, non sa durée.
- La plus grande partie de la vie passe à mal faire, une grande partie à ne rien faire, toute la vie à ne pas penser à ce que l'on fait.
- Tu as tes occupations et la vie se hâte ; sur ces entrefaits la mort sera là, à laquelle, bon gré mal gré, il faut bien finir par se livrer.
- Personne ne se soucie de bien vivre, mais de vivre longtemps, alors que la seule chose sur laquelle nous pouvons agir est de se donner la possibilité de bien vivre.
- Tout ce que la constitution de l'univers nous astreint à souffrir, endurons-le en faisant preuve de grandeur d'âme.
- On obtient de l'ennemi bien plus de respect et de garanties quand on se rend les armes à la main.
- À celui qui ne sait vers quel port il navigue, nul vent n'est jamais favorable.
- Personne ne se soucie de bien vivre , mais de vivre longtemps, alors que tous peuvent se donner le bonheur de bien vivre, aucun de vivre longtemps.
- Je préfère modérer mes joies que réprimer mes douleurs.
- Toute la vie n'est qu'un voyage vers la mort.
- Hâte-toi de bien vivre et songe que chaque jour est à lui seul une vie.
- Une vie malheureuse est plus insupportable que la mort.
- La preuve du pire, c'est la foule.
- Nous commençons à vieillir quand nous remplaçons nos rêves par des regrets.
- Il faut toute la vie pour apprendre à vivre.
- Tu trouveras, dans n'importe quelle situation, des divertissements, des délassements et des plaisirs, si tu t'appliques à juger tes maux légers plutôt que de te les rendre intolérables.
- L'important n'est pas ce qu'on supporte, mais la façon de le supporter.
- Après la mort, il n'y a rien, et la mort elle-même n'est rien.
- Tu veux savoir quelle est, pour une vie, la plus vaste étendue ? Vivre jusqu'à la sagesse. Celui qui l'a atteinte touche non pas le terme le plus reculé mais le terme suprême.
- Il n’y a dans la vertu, nul sujet de craindre aucun excès, parce qu’elle porte en elle-même la juste mesure.
- Pour surmonter les obstacles, fait appel à la raison.
- La vie est pièce de théâtre : ce qui compte, ce n'est pas qu'elle dure longtemps, mais qu'elle soit bien jouée.
- Ce n’est jamais le temps qui manque aux scélérats Pour nuire, et machiner de nouveaux attentats.
- Toute méchanceté a sa source dans la faiblesse.
- La mort est bien lourde pour celui qui meurt trop connu des autres mais inconnu de lui-même.
- Personne n'erre seulement pour son propre compte, mais on est la cause et le promoteur de l'erreur d'autrui.
- Nous réglons notre vie sur les exemples : ce n’est pas la raison qui nous façonne ; c’est la coutume qui nous entraîne.
- Les misères de la vie enseignent l'art du silence.
- Heureux est l’homme qui possède la rectitude du jugement.
- Les systèmes sont les fictions du génie de chaque philosophe.
- Nous sommes nés dans un royaume : obéir à la divinité, voilà la liberté.
- C'est la vie qui nous apprend et non l'école.
- Tu cesseras de craindre en cessant d'espérer. La crainte et l'espoir qui paraissent inconciliables sont pourtant étroitement unies.
- L'amitié est toujours profitable, l'amour est parfois nuisible.
- Un bonheur que rien n'a entamé succombe à la moindre atteinte ; mais quand on doit se battre contre les difficultés incessantes, on s'aguerrit dans l'épreuve, on résiste à n'importe quels maux, et même si l'on trébuche, on lutte encore à genoux.
- Il n'est plus temps, quand le danger est présent, de nous fortifier contre lui.
- Le langage de la vérité est simple.
- Chaque fois que tu veux connaître le fond d'une chose, confie-la au temps.
- La colère n'a rien de grand ni de noble. Il n'y a vraiment grand que ce qui, en même temps, est calme.
- L'heure qui vous a donné la vie l'a déjà diminuée.
- Il est préférable de guérir l'offense plutôt que de la venger. La vengeance prend beaucoup de temps, elle expose à bien des offenses.
- La vie ressemble à un conte ; ce qui importe, ce n'est pas sa longueur, mais sa valeur.
- La mort est quelquefois un châtiment ; souvent c'est un don ; pour plus d'un, c'est une grâce.
- C'est quand on n'a plus d'espoir qu'il ne faut désespérer de rien.
- Le véritable bien se trouve dans le repos de la conscience.
- Je gouvernerai ma vie et mes pensées comme si le monde entier devait être le témoin de l'une et pouvait lire dans les autres.
- L’espoir est la plus grande entrave à la vie. En prévoyant demain, aujourd’hui se perd.