A trente ans, les hommes ont déjà fini de se connaître par le coeur. Le calcul leur suffit.
Citation sur la vie de Jean-Pierre Guay :A trente ans, les hommes ont déjà fini de se connaître par le coeur. Le calcul leur suffit.
Jean-Pierre Guay est l'auteur de la citation sur la vie "A trente ans, les hommes ont déjà fini de se connaître par le coeur. Le calcul leur suffit.".
Jean-Pierre Guay est également l'auteur des citations :
- On voit ce qu'on peut voir, on vit ce qu'on peut vivre : c'est déjà beaucoup, c'est de l'infini palpable, concret, inaliénable, vivre aujourd'hui, c'est déjà n'être pas mort.
- La liberté est incompatible avec la faiblesse.
- L'amour se pratique, s'apprend et se partage, l'amour passe au travers des haines comme la lumière dans les atomes.
- La pauvreté ça s'apprend comme le reste, c'est encore le meilleur choc qu'on puisse attendre du futur.
- Fais ce que tu crois devoir faire. Au bout du compte, le moment venu, tu verras ce que tu auras accompli.
- Aux lâches, tout peut être pardonné. Aux désespérés, rien.
- Dis-moi, quelle violence est pire que le silence ?
- Dieu garde pour lui la vision du bonheur. On peut essayer de l'imaginer, passe encore. L'analyser, c'est peine perdue.
- Entre paroles et silence logent plus d'une vérité.
- On ne se met pas en colère contre ses ennemis. La colère ne vient qu'à ceux qui se disent amis.
- La grâce a un pouvoir machiavélique. Elle écarte de sa route tout ce qui ne vient pas à elle.
- Il n'y a pas de plus incohérent qu'une femme. Sauf un homme.
- Connaître, c'est se libérer. Mais il n'y a de liberté qu'en amour. Et aimer se dit de Dieu, non pas de l'homme.
- Ce sont les jeunes qui vieillissent. Ceux qui ont atteint leur maturité n'y pensent plus.
- A deux on possède mieux la vie, on s'en échange les contraintes, on passe du pourquoi au comment.
- C'est en nous seuls que nous pouvons trouver ce que nous demandons aux autres de nous donner.
- Contre l'innocence on ne peut rien.
- Pas étonnant que nos solitudes soient plus nombreuses, le sentiment de notre isolement, plus vif. Chaque homme, en sa conscience, recommençant l'éternité.