Le bonheur tue et le chagrin laisse vivre.

Citation sur la vie de François de La Rochefoucauld :

Le bonheur tue et le chagrin laisse vivre.

François de La Rochefoucauld est l'auteur de la citation sur la vie "Le bonheur tue et le chagrin laisse vivre.".
François de La Rochefoucauld est également l'auteur des citations :

• Le plus grand effort de l'amitié n'est pas de montrer nos défauts à un ami, c'est de lui faire voir les siens.
• Il ne faut pas laisser croître l’herbe sur le chemin de l’amitié.
• On n’est jamais si heureux ni si malheureux qu’on s’imagine.
• Dieu a permis, pour punir l'homme du péché originel, qu'il se fît un dieu de son amour-propre pour en être tourmenté dans toutes les actions de sa vie.
• La sincérité est une ouverture de coeur. On la trouve en fort peu de gens, et celle que l’on voit d’ordinaire n’est qu’une fine dissimulation pour attirer la confiance des autres.
• Quand nos amis nous ont trompés, on ne doit que de l'indifférence aux marques de leur amitié, mais on doit toujours de la sensibilité à leurs malheurs.
• L'absence diminue les médiocres passions, et augmente les grandes, comme le vent éteint les bougies, et allume le feu.
• Il en est du véritable amour comme de l'apparition des esprits ; tout le monde en parle, mais peu de gens en ont vus.
• Dans l'amitié comme dans l'amour on est souvent plus heureux par les choses qu'on ignore que par celles que l'on sait.
• Notre envie dure toujours plus longtemps que le bonheur de ceux que nous envions.
• Ce que les hommes ont nommé amitié n'est qu'une société, qu'un ménagement réciproque d'intérêts, et qu'un échange de bons offices ; ce n'est enfin qu'un commerce où l'amour-propre se propose toujours quelque chose à gagner.
• Jusqu’à présent, les hommes n’ont trouvé d’autre chemin vers la vérité que l’erreur.
• Quelque rare que soit le véritable amour, il l'est encore moins que la véritable amitié.
• Nous ne pouvons rien aimer que par rapport à nous, et nous ne faisons que suivre notre goût et notre plaisir quand nous préférons nos amis à nous-mêmes ; c'est néanmoins par cette préférence seule que l'amitié peut être parfaite.
• La vérité ne fait pas tant de bien dans le monde que ses apparences y font de mal.
• On ne veut point perdre la vie, et on veut acquérir de la gloire.
• La plupart des amis dégoûtent de l'amitié et la plupart des dévots dégoûtent de la dévotion.
• La philosophie triomphe aisément des maux passés et des maux à venir, mais les maux présents triomphent d'elle.
• Nous plaisons plus souvent dans le commerce de la vie par nos défauts que par nos qualités.
• On a divers sujets de mépriser la vie, mais on n'a jamais raison de mépriser la mort.
• Il n'y a que les personnes qui ont de la fermeté qui puissent avoir une véritable douceur.
• Le découragement est la mort morale.
• La vieillesse est un tyran qui défend, sous peine de la vie, tous les plaisirs de la jeunesse.
• C’est une espèce de bonheur, de connaître jusqu’à quel point on doit être malheureux.
• La véritable éloquence consiste à dire tout ce qu'il faut et à ne dire que ce qu'il faut.
• Le bonheur est toujours à la portée de celui qui sait le goûter.
• Le remède de la jalousie est la certitude de ce qu'on craint, parce qu'elle cause la fin de la vie ou la fin de l'amour.
• Il arrive quelquefois des accidents dans la vie d'où il faut être un peu fou pour se bien tirer.
• Les amitiés renouées demandent plus de soins que celles qui n'ont jamais été rompues.
• La confiance en Dieu ? Trouver le bonheur jusque dans la catastrophe !
• Ceux qui ont eu de grandes passions se trouvent toute leur vie heureux, et malheureux, d'en être guéris.
• Rien n'est plus rare que la véritable bonté ; ceux mêmes qui croient en avoir n'ont d'ordinaire que de la complaisance ou de la faiblesse.
• Il ne faut pas s'offenser que les autres nous cachent la vérité, puisque nous nous la cachons si souvent à nous-mêmes.
• Le soleil ni la mort ne se peuvent regarder fixement.
• L’espérance, toute trompeuse qu’elle soit, sert au moins à nous mener à la fin de la vie par un chemin agréable.
• Peu d’amitiés subsisteraient, si chacun savait ce que son ami dit de lui lorsqu’il n’y est pas.