
Le bonheur est la plus cruelle des armes aux mains du temps.
Citation sur la vie de Paul Valéry :Le bonheur est la plus cruelle des armes aux mains du temps.
Paul Valéry est l'auteur de la citation sur la vie "Le bonheur est la plus cruelle des armes aux mains du temps.".
Paul Valéry est également l'auteur des citations :
- L'éducation ne se borne pas à l'enfance et à l'adolescence. L'enseignement ne se limite pas à l'école. Toute la vie, notre milieu est notre éducation, et un éducateur à la fois sévère et dangereux.
- Liberté suppose ignorance.
- La plupart des crimes sont des actes de somnambulisme, la morale consisterait à réveiller à temps le dormeur.
- La meilleure façon de réaliser ses rêves est de se réveiller.
- La mort enlève tout sérieux à la vie.
- Le hasard est la liberté des choses, l'impression que nous avons de la pluralité et de l'indifférence des solutions.
- C'est la vie et non point la mort qui sépare l'âme du corps.
- La philosophie ne consiste-t-elle pas, après tout, à faire semblant d'ignorer ce que l'on sait et de savoir ce que l'on ignore ?
- Vérité est non seulement conformité, mais valeur. Ceux qui croient la posséder, la possèdent ; eux seuls.
- Véritablement bon est l'homme rare qui jamais ne blâme les gens des maux qui leur arrivent.
- Le philosophe est un artiste qui ne veut pas convenir de l’être.
- La vie enseigne à faire semblant de n'être qu'un homme.
- Les véritables accords sont les accords en arrière-pensées.
- La philosophie est chose ni plus ni moins sérieuse qu’une suite en ré mineur.
- Philosopher en vers, ce fut, et c'est encore, vouloir jouer aux échecs selon les règles du jeu de dame.
- Méditer en philosophie, c'est revenir du familier à l'étrange et, dans l'étrange, affronter le réel.
- Le temps du monde fini commence.
- L'espoir fait vivre, mais comme sur une corde raide.
- Le temps de « faire l’amour »… d’ailleurs « faire l’amour », - ce n’est pas du tout l’Amour. On ne fait pas une étonnante fleur.
- Faire de l'orthographe le signe de la culture, signe des temps et de sottise.
- Il y a des critiques qui ne demeurent "critique" que le temps de n'avoir pas réfléchi.
- La jeunesse est un temps pendant lequel les conventions sont, et doivent être, mal comprises : ou aveuglement combattues, ou aveuglement obéies.
- La peinture permet de regarder les choses en tant qu’elles ont été une fois contemplées avec amour.
- Dans le métier de philosophe il est essentiel de ne pas comprendre.
- La vérité a besoin de mensonge - car comment la définir sans contraste ?
- Le difficile est de repousser ce qui vous empêche d'être vous-même - sans repousser en même temps ce qui vous contraint à l'être.
- La mort est un acte du coeur.
- Ecrire enchaîne. Garde ta liberté.
- Les livres ont les mêmes ennemis que l'homme : le feu, l'humide, les bêtes, le temps, et leur propre contenu.
- Les animaux, qui ne font rien d'inutile, ne médisent pas sur la mort.
- Par malheur, il y a dans chaque philosophe un mauvais génie qui répond, et répond à tout.
- La plus grande liberté naît de la plus grande rigueur.
- Ce qu’on peut reprocher à la philosophie, c’est qu’elle ne sert à rien.
- Le bonheur a les yeux fermés.
- La vie est à peine un peu plus vieille que la mort.
- Une “philosophie†doit être portative.
- L’espoir est un scepticisme. C’est douter du malheur un instant.
- La vérité est un moyen. Il n'est pas le seul.
- Nietzsche n'est pas une nourriture, c'est un excitant.
- L'amour c'est être stupide ensemble.
- La mort nous parle d'une voix profonde pour ne rien dire.
- Ce sont les questions qui font le philosophe.
- Le philosophe n’en sait pas réellement plus que sa cuisinière.
- La distance et le temps font ensemble un désert où l’être solitaire peuple de visions étranges l’heure et l’air… Effet complémentaire!
- La théologie joue avec la vérité comme un chat avec une souris.
- La mort est une surprise que fait l'inconcevable au concevable.
- Liberté : c’est un de ces détestables mots qui ont plus de valeur que de sens, qui chantent plus qu’ils ne parlent.
- L'espace est un corps imaginaire comme le temps un mouvement fictif.
- L'éternité occupe ceux qui ont du temps à perdre. Elle est une forme de loisir.
- La poésie est à la vie ce qu’est le feu au bois. Elle en émane et le transforme.»
- Ce qui est terrible dans la mort, ce n'est pas d'en être vaincu, mais de lutter.
- On se réfugie dans ce qu'on ignore. On s'y cache de ce qu'on sait. L'inconnu est l'espoir de l'espoir.
- Toute philosophie pourrait se réduire à rechercher laborieusement cela même que l'on sait naturellement.
- Tu sais bien que tu étais entre la mort et moi. Mais hélas il paraît que j'étais entre la vie et toi.
- Par le mythe vulgaire du bonheur, on peut faire des hommes à peu près ce que l'on veut, et tout ce que l'on veut des femmes.