Et si c’était cela, perdre sa vie : se poser les questions essentielles juste un peu trop tard ?
Citation sur la vie de Gilbert Cesbron :Et si c’était cela, perdre sa vie : se poser les questions essentielles juste un peu trop tard ?
Gilbert Cesbron est l'auteur de la citation sur la vie "Et si c’était cela, perdre sa vie : se poser les questions essentielles juste un peu trop tard ?".
Gilbert Cesbron est également l'auteur des citations :
- Vie en société. Finalement il n'y a que deux espèces d'hommes : ceux qui s'en veulent et ceux qui en veulent aux autres.
- Le bonheur ne se multiplie qu'en se divisant.
- Le pamphlet est l'arme de ceux qui ont découvert l'erreur, pas encore la vérité.
- J'ai connu un temps où la principale pollution venait de ce que les gens secouaient leur tapis par la fenêtre.
- Que ce monde soit absurde, c'est l'affaire des philosophes et des humanistes. Mais qu'il soit injuste, c'est notre affaire à tous.
- La mort ferme les yeux des morts et ouvre ceux des survivants.
- La liberté, comme le courage, est un escalier qu'il faut gravir marche par marche - impossibilité d'enjamber !
- La contradiction entre les deux infinis de Dieu : créer les constellations et donner sa vie pour sauver une âme, n'est qu'apparente. Car une seule âme équivaut à une galaxie dans un système de mesures qui justement définit Dieu.
- Ce n'est pas le travail qui est la liberté : c'est l'argent qu'il procure, hélas !
- Certains esprits sont des trains qui vont si vite qu'on n'a pas le temps de s'apercevoir qu'ils sont vides.
- La guerre, c'est quand on attend la mort du dehors ; la paix, c'est quand on l'attend du dedans.
- A la mort de son mari, elle cessa enfin de se sentir seule.
- Le bonheur, c’est quand le temps s’arrête.