Démocrate par nature, aristocrate par moeurs, je ferais très volontiers l'abandon de ma fortune et de ma vie au peuple, pourvu que j'eusse peu de rapports avec la foule.
Citation sur la vie de François René de Chateaubriand :Démocrate par nature, aristocrate par moeurs, je ferais très volontiers l'abandon de ma fortune et de ma vie au peuple, pourvu que j'eusse peu de rapports avec la foule.
François René de Chateaubriand est l'auteur de la citation sur la vie "Démocrate par nature, aristocrate par moeurs, je ferais très volontiers l'abandon de ma fortune et de ma vie au peuple, pourvu que j'eusse peu de rapports avec la foule.".
François René de Chateaubriand est également l'auteur des citations :
- L'amitié que la présence attiédit, que l'absence efface.
- La mort ne révèle point les secrets de la vie.
- L'homme n'a pas une seule et même vie ; il en a plusieurs mises bout à bout, et c'est sa misère.
- Le vrai bonheur coûte peu ; s’il est cher, il n’est pas d’une bonne espèce.
- Les Français vont indistinctement au pouvoir ; ils n'aiment point la liberté ; l'égalité seule est leur idole.
- Mes livres ne sont pas des livres, mais des feuilles détachées et tombées presque au hasard sur la route de ma vie.
- Le temps est un voile interposé entre nous et Dieu, comme notre paupière entre notre oeil et la lumière.
- Le grand tort des hommes, dans leur songe de bonheur, est d’oublier cette infirmité de la mort attachée à leur nature.
- En ce temps-là , la vieillesse était une dignité ; aujourd'hui, elle est une charge.
- Il y a des temps où l’on ne doit dépenser le mépris qu’avec économie, à cause du grand nombre de nécessiteux.
- L'amour ? Il est trompé, fugitif ou coupable.
- Lorsqu'on regarde sa vie passée, on croit voir sur une mer déserte la trace d'un vaisseau qui a disparu.
- Les sentiments les plus merveilleux sont ceux qui nous agitent un peu confusément : la pudeur, l'amour chaste, l'amitié vertueuse, sont pleines de secrets.
- Heureux ceux qui meurent au berceau, ils n’ont connu que les baisers et les sourires d’une mère.
- C'est par la mort que la morale est entrée dans la vie.
- Religion à part, le bonheur est de s’ignorer et d’arriver à la mort sans avoir senti la vie.
- L'homme n'a au fond de l'âme aucune aversion contre la mort, il y a même du plaisir à mourir. La lampe qui s'éteint ne souffre pas.
- L'histoire n'est pas plus reconnaissante que les hommes.
- La mort, selon les sauvages, est une grande femme fort belle, Ã laquelle il ne manque que le coeur.
- Les Français sont inquiets et volages dans le bonheur, constants et invincibles dans l'adversité.
- Tout nous ramène à quelque idée de la mort, parce que cette idée est au fond de la vie.
- Comment renoncer aux usances câlines, au confort, au bien-être indolent de la vie ?
- Les excès de la liberté mènent au despotisme ; mais les excès de la tyrannie ne mènent qu'à la tyrannie.
- L'homme n'a qu'un mal réel : la crainte de la mort. Délivrez-le de cette crainte et vous le rendrez libre.
- L’amitié ? Elle disparaît quand celui qui est aimé tombe dans le malheur, ou quand celui qui aime devient puissant.
- Les danses s'établissent sur la poussière des morts et les tombeaux poussent sous les pas de la joie.
- On compte ses aïeux quand on ne compte plus.
- Les moments de crise produisent un redoublement de vie chez les hommes.
- O misère de nous ! Notre vie est si vaine qu'elle n'est qu'un reflet de notre mémoire.