Dieu n'est-il pas le poète suprême en tant qu'il improvise les mondes ?
Citation sur la vie de Vladimir Jankélévitch :Dieu n'est-il pas le poète suprême en tant qu'il improvise les mondes ?
Vladimir Jankélévitch est l'auteur de la citation sur la vie "Dieu n'est-il pas le poète suprême en tant qu'il improvise les mondes ?".
Vladimir Jankélévitch est également l'auteur des citations :
- La philosophie est toute entière préliminaire. A moins que ce ne soient les préliminaires qui soient déjà philosophie.
- Philosopher, c'est se comporter vis-à-vis de l'univers comme si rien n'allait de soi.
- La mort révèle l'amour, c'est l'inconsolable qui pleure l'irremplacable.
- On peut déclamer sa maladie ou réciter la mort des autres, mais sa mort propre, on la meurt toujours avec naturel.
- L’homme détaché écrit le testament du bonheur le jour même de sa naissance.
- Comment le mensonge ne serait-il pas une tentation quand l'homme faible et puéril est si vite ébloui ?
- La gaffe est l'administration massive, intempestive, et inopportune de ces vérités qu'une posologie civilisée dose en général goutte par goutte.
- La ride est une allusion à la mort.
- Dieu est une sorte de rien abyssal, et pourtant la vérité ne s'abîme pas dans cet abîme, ni ne s'écroule dans ce précipice.
- Dieu n'entre pas dans les détails ! Les détails, il les abandonne à la créature, pour que la demi-liberté de l'homme trouve à s'employer.
- Si la mort n'est pensable ni avant, ni pendant, ni après, quand pourrons-nous la penser ?
- La mort est la maladie des bien portants et des malades. Quand on n'est pas malade, on est encore quelqu'un qui doit mourir.
- La vie affective, à condition d’être sincère et pure de tout apocryphe, est donc une lenteur et un attardement.