
L'esclavage fait des monstres.
Citation sur la vie de Giacomo Casanova :L'esclavage fait des monstres.
Giacomo Casanova est l'auteur de la citation sur la vie "L'esclavage fait des monstres.".
Giacomo Casanova est également l'auteur des citations :
- L'homme est fait pour donner, la femme pour recevoir.
- Je n'ai jamais dans ma vie fait autre chose que travailler pour me rendre malade quand je jouissais de ma santé, et travailler pour regagner ma santé quand je l'avais perdue.
- L'homme est un animal qui ne peut être endoctriné que par la cruelle expérience.
- Ceux qui disent que la vie n'est qu'un assemblage de malheurs veulent dire que la vie même est un malheur. Si elle est un malheur, la mort est donc un bonheur.
- C'est un grand malheur pour une femme jolie que le rire l'enlaidisse ; le rire qui a souvent la force d'embellir une laide.
- Dans l'examen de la beauté d'une femme, la première chose que j'écarte sont les jambes.
- Il n'y a pas de femme au monde qui puisse résister aux soins assidus et à toutes les attentions d'un homme qui veut la rendre amoureuse.
- Quel est l'homme amoureux qui ne s'imagine que l'objet qu'il aime doit plaire à tout le monde ?
- Quand une fille est jolie, il ne faut qu'un instant pour la trouver telle.
- Les femmes n'ont d'autre âge que celui qu'elles montrent.
- La plus grande partie des hommes ne prend pas garde aux beaux pieds d'une femme.
- Pour juger un homme, il faut examiner sa conduite quand il est sain et libre : malade ou en prison, il n'est plus le même.
- Une fille qui, par le peu qu'elle laisse voir à un homme, le fait devenir curieux de voir le reste, a déjà fait trois quarts du chemin qu'il lui faut faire pour le rendre amoureux.
- Les remèdes aux plus grandes maladies ne se trouvent pas toujours dans la pharmacie.
- La mort est un monstre qui chasse du grand théâtre un spectateur attentif, avant qu'une pièce qui l'intéresse infiniment finisse.
- Si le plaisir existe, et si on peut en jouir qu'en vie, la vie est donc un bonheur.
- Sans la parole, le plaisir de l'amour diminue au moins de deux tiers.
- On ne désire pas ce qu'on possède.
- Qui est celui qui est libre dans cet enfer qu'on appelle monde ? Personne.
- La modestie n'est une vertu que quand elle est naturelle.
- J'écris pour ne pas m'ennuyer.
- Qu'est-ce qu'un baiser ? Ce n'est autre chose que le véritable effet du désir de puiser dans l'objet qu'on aime.
- L'âne n'a jamais pu être ami du cheval.
- Ce sont les petits désirs qui rendent un jeune homme hardi.
- Un peuple sans superstition serait philosophe, et les philosophes ne veulent jamais obéir.
- Pour faire pleurer les gens, vous devez pleurer vous-mêmes. Si vous voulez les faire rire, vous devez garder un visage sérieux.
- Quand on chérit le plaisir, il ne faut pas philosopher pour le diminuer.
- La nation française serait plus sage si elle avait moins d'esprit.
- Ce qui plaît à l'homme est partout ce qui est défendu.
- Il y a des moments dans lesquels l'homme, même brave, ou ne l'est pas ou ne veut pas l'être.
- Un athée qui, s'occupant de son système, pense à Dieu, vaut mieux qu'un théiste qui n'y pense jamais.
- Pour mettre la raison sur la voie de la vérité, il faut commencer par la tromper ; les ténèbres ont nécessairement précédé la lumière.
- Quel est l'homme auquel le besoin ne fasse faire des bassesses ?
- Qu'est-ce donc que l'amour ? Une maladie à laquelle l'homme est sujet à tout âge.
- Ceux qui rient beaucoup sont plus heureux que ceux qui rient peu.
- Heureux les hommes qui pour jouir de la vie n'ont besoin ni d'espérer ni de prévoir.
- Rien de tout ce qui existe n'a jamais exercé sur moi un si fort pouvoir qu'une belle figure de femme.
- Il n'y a point d'endroit sur la terre où l'observateur ne trouve des extravagances, s'il est étranger.
- Pour que le plus délicieux endroit du monde déplaise, il suffit qu'on soit condamné à y habiter.
- Entre la beauté et la laideur, il n'y a souvent qu'un point presque imperceptible.
- L'homme qui se défend de penser n'apprends jamais rien.
- Le fils de l'avare est prodigue, le fils du prodigue avare.
- Si les plaisirs sont passagers, les peines le sont aussi.