La façon dont tu traites les autres est un reflet de la façon dont tu te sens envers toi-même.
Citation sur la vie de Paulo Coelho :La façon dont tu traites les autres est un reflet de la façon dont tu te sens envers toi-même.
Paulo Coelho est l'auteur de la citation sur la vie "La façon dont tu traites les autres est un reflet de la façon dont tu te sens envers toi-même.".
Paulo Coelho est également l'auteur des citations :
- La liberté n'est pas l'absence d'engagement, mais la capacité de choisir.
- Si vous pensez que l'aventure est dangereuse, essayez la routine… Elle est mortelle!
- Un jour, tu te réveilleras et tu n'auras plus le temps de faire ce que tu voulais faire. Fais-le donc maintenant.
- Personne ne peut fuir son coeur. C'est pourquoi il vaut mieux écouter ce qu'il dit.
- Celui qui est capable de maîtriser son coeur est capable de conquérir le monde.
- Il n'y a qu'une chose qui puisse rendre un rêve impossible : la peur d'échouer.
- Ne perds pas ton temps avec des explications, les gens entendent ce qu'ils veulent entendre.
- Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise.
- C'est justement la possibilité de réaliser un rêve qui rend la vie intéressante.
- Quand on ne peut revenir en arrière, on ne doit se préoccuper que de la meilleure façon d'aller de l'avant.
- Dans la vie, tout est signe.
- La conscience de la mort nous incite à vivre davantage.
- La liberté, si durement acquise, n’est autre qu’un exil déguisé.
- Personne n'aime demander beaucoup à la vie, parce qu'il a peur de l'échec.
- En général, la mort fait que l'on devient plus attentif à la vie.
- C'était cela la liberté : sentir ce que son coeur désirait, indépendamment de l'opinion des autres.
- Sur le Chemin, comme dans la vie, la sagesse n'a de valeur que si elle peut aider l'homme à vaincre un obstacle.
- La vie peut être courte ou longue, tout dépend de la façon dont nous la vivons.
- Toutes les batailles de la vie nous enseignent quelque chose, même celles que nous perdons.
- L'enthousiasme se manifeste normalement de toute sa puissance pendant les premières années de notre vie.
- Dans les contes pour enfants, les princesses donnent des baisers aux crapaud. Dans la vie réelle, les princesses embrassent les princes et ceux-ci se transforment en crapauds.
- Une ville est une femme capricieuse, il lui faut du temps pour se laisser séduire et se découvrir complètement.
- Tout homme a le droit de douter de sa tâche et d'y faillir de temps en temps. La seule chose qu'il ne puisse faire, c'est l'oublier.
- Seul celui qui est heureux peut répandre le bonheur autour de lui.
- Tout est écrit dans les sons. Le passé, le présent et le futur de l'homme. Un homme qui ne sait pas entendre ne peut écouter les conseils que la vie nous prodigue à chaque instant. Seul celui qui écoute le bruit du présent peut prendre la décision juste.
- Emporte dans ta mémoire, pour le reste de ton existence, les choses positives qui ont surgi au milieu des difficultés. Elles seront une preuve de tes capacités et te redonneront confiance devant tous les obstacles.
- Travailler est une bénédiction quand cela nous aide à penser à ce que nous sommes en train de faire. Mais cela devient une malédiction quand cela n’a d’autre utilité que de nous éviter de penser au sens de notre vie.
- Les gens veulent tout changer et, en même temps, souhaitent que tout continue uniformément.
- La vie est généreuse et veut toujours nous donner beaucoup.
- A quoi sert l'argent si l'on doit mourir ? Il est bien rare que l'argent puisse sauver quelqu'un de la mort.
- Le bonheur est parfois une bénédiction - mais, le plus souvent, c'est une conquête.
- Clore des cycles, fermer des portes, finir des chapitres - peu importe comment nous appelons cela, l’important est de laisser dans le passé les moments de la vie qui sont achevés.
- A un moment donné de notre existence, nous perdons la maîtrise de notre vie, qui se trouve dès lors gouvernée par le destin. C'est là qu'est la plus grande imposture du monde.
- En fumant, vous abrégez votre vie, me dit-on. Je fume depuis l'âge de dix-huit ans, j'en ai soixante-cinq, si je n'avais pas fumé, j'en aurais soixante-dix. Je serais bien avancé !