Ah ! La gloire, triste denrée. Elle se paye cher et ne se garde pas. Ne serait-elle point l'égoïsme des grands hommes, comme le bonheur est celui des sots.
Citation sur la vie de Honoré de Balzac :Ah ! La gloire, triste denrée. Elle se paye cher et ne se garde pas. Ne serait-elle point l'égoïsme des grands hommes, comme le bonheur est celui des sots.
Honoré de Balzac est l'auteur de la citation sur la vie "Ah ! La gloire, triste denrée. Elle se paye cher et ne se garde pas. Ne serait-elle point l'égoïsme des grands hommes, comme le bonheur est celui des sots.".
Honoré de Balzac est également l'auteur des citations :
- L'amour est comme le vent, nous ne savons pas d'où il vient.
- Rien dans la vie n'exige plus d'attention que les choses qui paraissent naturelles ; on se défie toujours assez de l'extraordinaire.
- Plus on est debout, plus on rit.
- La fortune que l'on acquiert est en raison des besoins que l'on se crée.
- Sentir, aimer, souffrir, se dévouer, sera toujours le texte de la vie des femmes.
- Tout bonheur matériel repose sur des chiffres.
- Ce qui rend les amitiés indissolubles et double leur charme, est un sentiment qui manque à l'amour, la certitude.
- Il n’y a rien de plus triste qu’une vie sans hasard.
- La richesse rend tout supportable, tandis qu’il n’y a pas de bonheur qui ne succombe à la misère.
- Les erreurs de la femme viennent presque toujours de sa croyance au bien ou de sa confiance dans le vrai.
- Tout pouvoir humain est un composé de patience et de temps. Les gens puissants veulent et veillent.
- L'homme supérieur se moque de ceux qui le complimentent, et complimente quelquefois ceux dont il se moque au fond du cœur.
- Rien ne renforce plus l'amitié entre deux hommes que lorsque chacun des deux considère qu'il est supérieur à l'autre.
- Le mariage est une vie, le voile est une mort.
- La femme vit par le sentiment, là où l'homme vit par l'action.
- Le despotisme fait illégalement de grandes choses, la liberté ne se donne même pas la peine d'en faire légalement de très petites.
- Les vieillards seuls ont le temps d'aimer.
- Le bonheur est la poésie des femmes, comme la toilette en est le fard.
- J'ai accompli de délicieux voyages, embarqué sur un mot...
- La puissance ne consiste pas à frapper fort ou souvent mais à frapper juste.
- La vie ne va pas sans de grands oublis !
- L'amour qui économise n'est jamais le véritable amour.
- Le bonheur ne crée rien que des souvenirs.
- L'insouciance est l'art de se balancer dans la vie comme sur une escarpolette, sans s'inquiéter du moment où la corde cassera.
- Un amant ne donne pas seulement la vie à tout, il fait aussi oublier la vie : le mari ne donne la vie à rien.
- L'amour et la haine sont des sentiments qui s'alimentent par eux-mêmes, mais des deux la haine a la vie plus longue.
- Un mari doit toujours savoir ce qu'a sa femme, car elle sait toujours ce qu'elle n'a pas.
- La jouissance du bonheur amoindrira toujours le bonheur.
- La liberté enfante l'anarchie, l'anarchie conduit au despotisme et le despotisme ramène la liberté.
- L'homme qui entre dans le cabinet de toilette de sa femme est un philosophe ou un imbécile.
- Le temps est le seul capital des gens qui n'ont que leur intelligence pour fortune.
- La mort est aussi soudaine dans ses caprices qu'une courtisane l'est dans ses dédains, mais plus fidèle, elle n'a jamais trompé personne.
- Il y a du bonheur dans toute espèce de talent.
- Le véritable amour ne calcule rien.
- Affreuse condition de l'homme ! Il n'y a pas un de ses bonheurs qui ne vienne d'une ignorance quelconque.
- Le bonheur est la fin que doivent se proposer toutes les sociétés.
- La clef de toutes les sciences est sans contredit le point d'interrogation ; nous devons la plupart des grandes découvertes au comment ? Et la sagesse dans la vie consiste peut-être à se demander, à tout propos, pourquoi ?
- Parler d'amour, c'est faire l'amour.
- Aimer sans espoir, être dégoûté de la vie, constituent aujourd'hui des positions sociales.
- Pour être heureux en ménage, il faut être ou homme de génie marié à une femme tendre et spirituelle, ou se trouver, par l'effet d'un hasard, tous les deux excessivement bêtes.
- Le bonheur engloutit nos forces, comme le malheur éteint nos vertus.
- Au collège, ainsi que dans la société, le fort méprise déjà le faible, sans savoir en quoi consiste la véritable force.
- Quand le despotisme est dans les lois, la liberté se trouve dans les moeurs et vice et versa.
- On peut pardonner, mais oublier, c’est impossible.
- Paris est un véritable océan. Jetez-y la sonde, vous n’en connaîtrez jamais la profondeur.
- Il n'y a de vie que dans les marges.
- Le temps manque pour tout.
- Il arrive un moment, dans la vie intérieure des familles, où les enfants deviennent, soit volontairement, soit involontairement, les juges de leurs parents.
- Quel beau livre ne composerait-on pas en racontant la vie et les aventures d'un mot !
- Plus sa vie est infâme, plus l'homme y tient ; elle est alors une protestation, une vengeance de tous les instants.
- L’ennui naquit un jour de l’Université.
- L'égoïsme est le poison de l'amitié.
- Les femmes sachant toujours bien expliquer leurs grandeurs, c'est leurs petitesses qu'elles nous laissent à deviner
- ll y a deux histoires : l'histoire officielle, menteuse, puis l'histoire secrète, où sont les véritables causes des événements.
- Ne soyez ni confiant, ni banal, ni empressé, trois écueils ! La trop grande confiance diminue le respect, la banalité nous vaut le mépris, le zèle nous rend excellents à exploiter.
- L'espoir est une mémoire qui désire.
- L'opposition, c'est la vie.
- Il existe deux sortes d'hommes. Ceux qui combattent leur père et ceux qui cherchent toute leur vie à le remplacer.