Le privilège de l'âge est de pouvoir subordonner sa manière de vivre à ses idées au lieu d'asservir ses idées à un genre de vie imposée.
Citation sur la vie de Jacques de Bourbon Busset :Le privilège de l'âge est de pouvoir subordonner sa manière de vivre à ses idées au lieu d'asservir ses idées à un genre de vie imposée.
Jacques de Bourbon Busset est l'auteur de la citation sur la vie "Le privilège de l'âge est de pouvoir subordonner sa manière de vivre à ses idées au lieu d'asservir ses idées à un genre de vie imposée.".
Jacques de Bourbon Busset est également l'auteur des citations :
- J’ai toujours pensé que ce qui donnait un sens à la vie d’un homme, c’était de protéger une femme.
- Au lieu de sacraliser la société, les chrétiens feraient bien mieux de sacraliser la nature et la vie.
- Aimer, c'est trouver, grâce à un autre, sa vérité et aider cet autre à trouver la sienne. C'est créer une complicité passionnée.
- Refuser la vérité de l'amour conduit à refuser l'amour de la vérité.
- La liberté ne peut-être l'objet d'un serment, puisqu'elle en est le fruit.
- Introduire l'amour dans sa vie, c'est y introduire Dieu. Par l'amour on crée Dieu en soi.
- Créer la liberté à l'intérieur de la nécessité est sans doute la moins mauvaise définition de l'amour. Qui donne sa foi conquiert sa liberté.
- Les vérités ne peuvent être qu'individuelles.
- Le bonheur se vit à deux. C'est pourquoi on le déclare immoral.
- La passion fait le bonheur et la femme est sa complice. La femme est la chance du bonheur.
- L'amour physique est la clef de presque toutes les vies. On le sait, on n'ose le dire, de peur de passer pour un obsédé sexuel.
- Le bonheur, souvent, se construit au détriment de quelqu'un, et ce n'est plus le bonheur. Le vrai bonheur est de mettre son bonheur dans le bonheur d'un autre.
- Le secret du bonheur crève les yeux. C’est pourquoi nul n’ose le regarder en face ; il faut aimer quelqu’un.
- Pour certains la mise à la retraite est plus cruelle que la mort d'un être cher.
- Une vie, c'est un cheminement éclairé par un visage. Beaucoup le sentent et le vivent mais n'osent le penser.