Qu’il s’agisse de politique, de morale, ou de philosophie, je suspecte les jugements de ceux qui ignorent tout de ce qu’ils sont.
Citation sur la vie de Jean Rostand :Qu’il s’agisse de politique, de morale, ou de philosophie, je suspecte les jugements de ceux qui ignorent tout de ce qu’ils sont.
Jean Rostand est l'auteur de la citation sur la vie "Qu’il s’agisse de politique, de morale, ou de philosophie, je suspecte les jugements de ceux qui ignorent tout de ce qu’ils sont.".
Jean Rostand est également l'auteur des citations :
- Attendre d'en savoir assez pour agir en toute lumière, c'est se condamner à l'inaction.
- Je n’ai pas de vérités, je n’ai que des convictions.
- La seule chose qu'on ne peut embellir sans qu'elle en périsse, c'est la vérité.
- Deux époux doivent se garder de se quereller quand ils ne s'aiment plus assez pour les réconciliations.
- La vérité est toujours servie par les grands esprits, même s'ils la combattent.
- Il n'y a pas de bonheur intelligent.
- Il est rare que nous soyons tout à fait innocents de nos souffrances.
- Nous passons notre temps à envier des gens que nous ne voudrions pas être.
- La pire douleur est celle qui, à aucune minute, ne fait espérer la mort, mais dégoûte sourdement de la vie.
- La vérité ne nourrit pas son homme.
- C'est une lâcheté quand les puissants taisent la vérité, ce n'est pas toujours le courage quand les autres la disent.
- Le mariage simplifie la vie et complique la journée.
- La verité rougit l'oeil, mais elle ne la transperce pas.
- A la perte de ceux qu'on aime, c'est moins leur vie qui nous échappe que leur mort qui nous envahit.
- Le bonheur est moins absorbant que la plus petite des souffrances.
- Nos espoirs ne seraient-ils que des prétextes à nos élans ?
- La grande faiblesse des régimes de liberté, c'est que chacun y est libre de clamer qu'on ne l'est pas.
- Je croyais qu'un savant c'était toujours un homme qui cherche une vérité, alors que c'est souvent un homme qui vise une place.
- La fidélité aux morts est la meilleure manière d'insulter la vie.
- Un mensonge peut être moins menteur qu'une vérité bien choisie.
- Tout ce qui m'importe peut être vite dit. La vérité est courte.
- Un ménage est bien accordé où les deux époux ressentent en même temps le même besoin de la querelle.
- En quoi le bonheur peut-il bien consister sinon à n’être pas trop malheureux entre des malheurs !
- La mort est un processus qui gagne de proche en proche.
- Tant de liberté, en art, pour n’en faire que si peu de chose !
- Il te restera toujours assez de temps à perdre si tu n'en donnes pas à des sottises.
- Tous les espoirs sont permis à l'homme, même celui de disparaître.
- Cybernétique : l'homme est plus apte à imiter la pensée qu'à imiter la vie.
- Le véritable travail, c'est de savoir attendre.
- Un bon mariage serait celui où l’on oublierait, le jour, qu’on est amants, la nuit, qu’on est époux.
- Tant qu'on entend gémir la liberté, c'est qu'on n'a pas trop à s'alarmer pour elle.
- Notre véritable ennemi n'est pas celui dont les opinions nous scandalisent, mais celui qui suspecte la sincérité des nôtres.
- Qui demande trop peu à la vie sera toujours déçu par elle.
- La mort, seule chose plus grande que le mot qui la nomme.
- La seule liberté que nous concède la vie, c'est de choisir nos remords.
- Sortant de certaines bouches, la vérité elle-même a mauvaise odeur.
- L'avantage de l'instabilité pour un gouvernement, c'est qu'elle ne lui laisse pas le temps de se désavouer.
- En attendant qu’elle unisse, rien ne divise comme la vérité.
- Qu'il y a peu de chose dans une vie qui soit fait pour elle !
- Qui ne compte plus sur le bonheur est moins soigneux de sa conscience.
- Toute une vie auprès du même être, c'est long : un des bienfaits du mariage est de nous faire sentir la durée.
- On ment dès qu'on élève la voix.
- Laboratoire. Même quand on ne trouve rien, on renifle l’odeur de la vérité qui se cache.
- La vérité, juchée sur son socle d'erreurs.
- Les vérités, comme les femmes, ne sont pas toujours difficiles dans la mesure où elles sont belles.
- Cette vie qu'on ne peut pas prendre au sérieux et qu'il faut parfois prendre au tragique.