Quand on n’est pas assez fortuné pour se payer le bonheur, il ne faut pas s’en approcher de trop et le regarder...
Citation sur la vie de Tristan Bernard :Quand on n’est pas assez fortuné pour se payer le bonheur, il ne faut pas s’en approcher de trop et le regarder...
Tristan Bernard est l'auteur de la citation sur la vie "Quand on n’est pas assez fortuné pour se payer le bonheur, il ne faut pas s’en approcher de trop et le regarder...".
Tristan Bernard est également l'auteur des citations :
- Le véritable ami est celui à qui on n'a rien à dire. Il contente à la fois notre sauvagerie et notre besoin de sociabilité.
- Le meilleur moyen de faire cesser la tentation, c'est d'y succomber.
- La gloire de l’acteur, comme la beauté d’une femme, ne perd rien de sa grandeur du fait qu’elle est périssable.
- L’humour provient d’un excès de sérieux.
- Philosophe : c'est un nom que se donnent dans le monde les gens qui évitent de penser.
- La liberté est un bien précieux, mais il faut avoir un petit capital d’exploitation pour la cultiver.
- Je n’ai aucune espèce de joie à faire le bonheur des gens qui ne me plaisent pas.
- C’était en somme une jolie intelligence de femme. Elle n’inventait rien, mais elle comprenait tout.
- C’est un grave défaut d’être équitable quand votre tempérament vous oblige à travailler dans la satire.
- Pourquoi la postérité serait-elle plus équitable que les contemporains ? Elle peut se tromper, elle aussi...
- L'homme est un éternel enfant qui, pendant la partie médiane de sa vie, a la puérilité de jouer à l'adulte.
- Ce que nous aimons dans nos amis, c'est le cas qu'ils font de nous.
- Il faut mettre de l'argent de côté pour en avoir devant soi.
- La question n’est pas de travailler, c’est de faire croire aux autres qu’on travaille.
- Le grand avantage de la passion, c'est qu'elle nous fait passer le temps.
- C'est un excellent entraînement intellectuel que d'avoir en soi-même une confiance exagérée.
- La vie se charge de “classer” les affaires du coeur.
- On trouve le temps long sous la terre.
- La mort, c'est la fin d'un monologue.
- Un écrivain ne doit pas chercher à être incohérent et anormal. Souvent il l’est déjà suffisamment sans s’en douter.
- Un véritable ami exerce un pouvoir de destruction instinctivement systématique sur tout ce qui n’est pas son amitié.
- Où donc est-il, le temps charmant Où le mot m'arrivait si vite ? Le mot venait d'abord et la pensée ensuite. J'étais un poète vraiment.
- On a tort d'introduire des questions d'argent dans les relations avec les patrons d'hôtel.
- Dans la vie, on se tire souvent des situations compliquées en ne disant rien.
- Plus on rencontre des difficultés dans la vie, plus on a en soi de fierté et de contentement de soi-même...
- Ah ! Que ne suis-je riche, pour venir en aide au pauvre que je suis !
- Le crédit est constitué par une confiance complaisante ou mal éclairée.
- Le vol est un travail comme un autre, et souvent plus difficile qu'un autre, sans même parler des risques.
- Le sommeil est à la mort ce que les grandes manoeuvres sont à la guerre.
- Les hommes accordent tout de suite leur confiance mais jamais leur argent.
- Ce qui fait que les grands-pères s’entendent aussi bien avec les petits enfants, c’est que, pour ces derniers, la vie n’est pas encore assez sérieuse et que, pour les aïeuls, elle ne l’est plus autant.
- Tant qu'on n'est pas propriétaire, on ne peut s'imaginer combien il est ignoble de porter atteinte à la propriété.
- Les optimistes et les pessimistes ont un grand défaut qui leur est commun : ils ont peur de la vérité.