Ah ! Que ne suis-je riche, pour venir en aide au pauvre que je suis !
Citation sur la vie de Tristan Bernard :Ah ! Que ne suis-je riche, pour venir en aide au pauvre que je suis !
Tristan Bernard est l'auteur de la citation sur la vie "Ah ! Que ne suis-je riche, pour venir en aide au pauvre que je suis !".
Tristan Bernard est également l'auteur des citations :
- Le véritable ami est celui à qui on n'a rien à dire. Il contente à la fois notre sauvagerie et notre besoin de sociabilité.
- Le meilleur moyen de faire cesser la tentation, c'est d'y succomber.
- L’humour provient d’un excès de sérieux.
- La gloire de l’acteur, comme la beauté d’une femme, ne perd rien de sa grandeur du fait qu’elle est périssable.
- La liberté est un bien précieux, mais il faut avoir un petit capital d’exploitation pour la cultiver.
- La vie se charge de “classer†les affaires du coeur.
- C’était en somme une jolie intelligence de femme. Elle n’inventait rien, mais elle comprenait tout.
- Un véritable ami exerce un pouvoir de destruction instinctivement systématique sur tout ce qui n’est pas son amitié.
- Pourquoi la postérité serait-elle plus équitable que les contemporains ? Elle peut se tromper, elle aussi...
- L'homme est un éternel enfant qui, pendant la partie médiane de sa vie, a la puérilité de jouer à l'adulte.
- Il faut mettre de l'argent de côté pour en avoir devant soi.
- La question n’est pas de travailler, c’est de faire croire aux autres qu’on travaille.
- Un écrivain ne doit pas chercher à être incohérent et anormal. Souvent il l’est déjà suffisamment sans s’en douter.
- Philosophe : c'est un nom que se donnent dans le monde les gens qui évitent de penser.
- Je n’ai aucune espèce de joie à faire le bonheur des gens qui ne me plaisent pas.
- On a tort d'introduire des questions d'argent dans les relations avec les patrons d'hôtel.
- Plus on rencontre des difficultés dans la vie, plus on a en soi de fierté et de contentement de soi-même...
- C’est un grave défaut d’être équitable quand votre tempérament vous oblige à travailler dans la satire.
- On trouve le temps long sous la terre.
- Dans la vie, on se tire souvent des situations compliquées en ne disant rien.
- Le crédit est constitué par une confiance complaisante ou mal éclairée.
- C'est un excellent entraînement intellectuel que d'avoir en soi-même une confiance exagérée.
- Le vol est un travail comme un autre, et souvent plus difficile qu'un autre, sans même parler des risques.
- Le sommeil est à la mort ce que les grandes manoeuvres sont à la guerre.
- La mort, c'est la fin d'un monologue.
- Quand on n’est pas assez fortuné pour se payer le bonheur, il ne faut pas s’en approcher de trop et le regarder...
- Le grand avantage de la passion, c'est qu'elle nous fait passer le temps.
- Ce que nous aimons dans nos amis, c'est le cas qu'ils font de nous.
- Les hommes accordent tout de suite leur confiance mais jamais leur argent.
- Tant qu'on n'est pas propriétaire, on ne peut s'imaginer combien il est ignoble de porter atteinte à la propriété.
- Où donc est-il, le temps charmant Où le mot m'arrivait si vite ? Le mot venait d'abord et la pensée ensuite. J'étais un poète vraiment.
- Les optimistes et les pessimistes ont un grand défaut qui leur est commun : ils ont peur de la vérité.
- Ce qui fait que les grands-pères s’entendent aussi bien avec les petits enfants, c’est que, pour ces derniers, la vie n’est pas encore assez sérieuse et que, pour les aïeuls, elle ne l’est plus autant.