Si nous vivons, nous vivons pour marcher sur la tête des puissants... Car les puissants ne travaillent qu'à marcher sur nos vies.
Citation sur la vie de William Shakespeare :Si nous vivons, nous vivons pour marcher sur la tête des puissants... Car les puissants ne travaillent qu'à marcher sur nos vies.
William Shakespeare est l'auteur de la citation sur la vie "Si nous vivons, nous vivons pour marcher sur la tête des puissants... Car les puissants ne travaillent qu'à marcher sur nos vies.".
William Shakespeare est également l'auteur des citations :
- Un ami, c'est quelqu'un qui te connaît tel que tu es, qui comprend qui tu as été, qui accepte ce que tu es devenu, et encore, qui te permet de te développer.
- Nos doutes sont des traîtres et nous privent de ce que nous pourrions souvent gagner de bon parce que nous avons peur d'essayer.
- Remettre à demain, cela finit mal.
- Les dangers visibles nous causent moins d'effroi que les dangers imaginaires.
- Se lamenter sur un malheur passé, voilà le moyen le plus sûr d'en attirer un autre.
- L'espérance d'une joie est presque égale à la joie.
- Être ou ne pas être : là est la question.
- La mémoire est la sentinelle de l'esprit.
- Si les étranges vicissitudes de la fortune ne nous faisaient pas voir le peu de valeur de la vie, jamais on ne se résignerait à vieillir.
- Mieux vaut mourir incompris que passer sa vie à s'expliquer.
- La pensée est l'esclave de la vie, et la vie est le fou du temps...
- Le monde entier est un théâtre, Et tous, hommes et femmes, n'en sont que les acteurs. Et notre vie durant nous jouons plusieurs rôles.
- Nos doutes sont des traîtres, et nous privent de ce que nous pourrions souvent gagner de bon, parce que nous avons peur d'essayer.
- La vie est une ombre qui marche, un pauvre acteur qui se pavane et se trémousse une heure en scène, puis qu'on cesse d'entendre.
- Le malheur se fait d'autant plus lourd qu'il s'aperçoit qu'on le supporte difficilement.
- Le Temps est hors de ses gonds
- En disant deux fois pardon, tu ne pardonnes pas deux fois, mais tu rends le pardon plus solide.
- La gloire est comme un cercle dans l'onde qui va toujours s'élargissant, jusqu'à ce qu'à force de s'étendre, il finisse par disparaître.
- C’est un malheur du temps que les fous guident les aveugles.
- L'étreinte de la mort est comme la morsure d'un amant, qui fait mal et qu'on désire.
- Il n'y a pas de philosophe qui supporte avec sérénité une rage de dents.
- La vie n'est qu'une ombre qui passe, un pauvre acteur qui s'agite et parade une heure sur la scène, puis on ne l'entend plus.
- Le temps n'a pas la même allure pour tout le monde !
- Voilà bien les Français, ils tournent à tout vent.
- Qui néglige les marques de l'amitié, finit par en perdre le sentiment.
- Il est des gens qui n'embrassent que des ombres ; ceux-là n'ont que l'ombre du bonheur.
- La mort, gendarme féroce, est inflexible dans ses arrêts.
- Le temps est disloqué. Ô destin maudit, pourquoi ne suis-je né pour le remettre en place ?
- Nous sommes de l'étoffe dont sont faits les rêves, et notre petite vie est entourée de sommeil.
- Ce n’est pas un mince bonheur qu’une condition médiocre : le superflu grisonne plus vite, le simple nécessaire vit plus longtemps.
- Avec l’amorce d’un mensonge, on pêche une carpe de vérité.
- L'esprit oublie toutes les souffrances quand le chagrin a des compagnons et que l'amitié le console.
- Les frelons ne sucent pas le sang des aigles mais pillent les ruches des abeilles.
- Mourir en combattant, c'est la mort détruisant la mort. Mourir en tremblant, c'est payer servilement à la mort le tribut de sa vie.
- C'est à l'endroit où l'eau est la plus profonde qu'elle est le plus calme.
- Les lâches meurent plusieurs fois avant leur mort ; Le brave ne goûte jamais la mort qu'une fois.
- L’amitié est constante en toute chose excepté dans les intérêts et les affaires d’amour.
- Rien n'exprime mieux la joie que le silence. Si j'ai pu dire combien grand était mon bonheur, c'est qu'il était petit.
- La vérité a un coeur tranquille.
- Un homme honnête, par le temps qui court, on en rencontre un sur dix mille.
- L'amour ne regarde pas avec les yeux, mais avec l'âme.
- Qui n'a plus d'espoir n'aura plus de regrets.
- Un feu léger est vite étouffé : si vous le laissez faire, des rivières ne sauraient l'éteindre.
- Les petites pluies sont longues, les tempêtes soudaines sont courtes.
- En temps de paix, rien ne sied mieux que le calme, la modestie, l'humilité, mais que vienne la guerre alors prends exemple sur le tigre.
- Quand il est sans remède, un chagrin est fini et qui n'a plus d'espoir n'aura plus de regrets.
- Tout esclave a en ses mains le pouvoir de briser ses chaînes.
- C'est perdre la vie que de l'acheter par trop de soucis.
- L'oiseau englué dans un buisson se méfie de tous les buissons.
- Nôtre est l'étoffe dont les rêves sont faits, et notre petite vie est cernée de sommeil.
- Le Temps ressemble à un hôte du grand monde, qui serre froidement la main à l'ami qui s'en va et qui, les bras étendus, embrasse le nouveau venu.
- Une chute profonde mène souvent vers le plus grand bonheur.
- Il y a plus de choses dans le ciel et sur la terre que n'en rêve votre philosophie.
- La mort est une dette que chacun ne peut payer qu'une fois.
- Beaucoup peuvent supporter le mauvais temps qui n’ont pas le goût pour la tempête.
- L’âme du bonheur meurt dans la jouissance.
- Nous sommes faits de la même étoffe que les songes et notre petite vie, un somme la parachève.
- J’ai vécu assez longtemps : et le chemin de ma vie se perd dans les feuilles jaunies et séchées.