Je ne crois pas que la littérature puisse changer la politique, mais elle peut exercer une influence sur ceux qui appliquent la politique.
Citation sur la vie de Jiang Zilong :Je ne crois pas que la littérature puisse changer la politique, mais elle peut exercer une influence sur ceux qui appliquent la politique.
Jiang Zilong est l'auteur de la citation sur la vie "Je ne crois pas que la littérature puisse changer la politique, mais elle peut exercer une influence sur ceux qui appliquent la politique.".
Jiang Zilong est également l'auteur des citations :
- Le malin est celui qui mate un misérable en épousant ses intérêts.
- Existe-t-il de véritables rusés dont on ne remarque pas les ruses ?
- Est-ce que ceux qui ne savent pas dissimuler leur ruse peuvent encore passer pour rusés ?
- La langue révélatrice de la pensée, est la mère de tous les maux.
- Les directeurs dirigent l'usine mais les secrétaires dirigent les directeurs.
- L'oeuvre littéraire sert de miroir au public. L'auteur s'y reflète et le lecteur y trouve son image.
- Peut-on manger à temps quand les cuisiniers et les clients entrent tous à la même heure dans la cuisine ?
- L'argent ne peut pas être mieux placé que dans les mains des ouvriers.
- La rancune n'est que la preuve de la faiblesse.
- Les profanes voient les apparences, les connaisseurs voient les astuces.
- Lors d'une tempête, on peut trouver la tranquillité au coeur même du typhon.
- Le pouvoir se perd vite : quand on en possède un, il faut en user le plus vite possible, faute de quoi, il s'envole.
- Les magistrats les plus compétents et les plus intègres sont souvent incapables de venir à bout de leurs propres conflits familiaux.
- Celui qui a du toupet se rassasie, celui qui est timide crève de faim.
- La pierre est l'amie du couteau, l'obstacle, celui de la volonté.
- Ceux qui arrivent juste à l'heure, sont des gens qui marchent à la sonnerie.
- L'âme du peuple ne doit pas être étouffée, elle a besoin de respirer, la littérature est son poumon.
- Lorsqu'un mur va s'écrouler, tout le monde le pousse.
- Il convient de fermer les yeux lorsque ceux-ci révèlent les pensées.
- Un habit bien fait embellit les gens comme la selle, le cheval.
- Quel que soit son orgueil, un homme le cache dans sa poche dès qu'il est amoureux.
- Comment un individu peut-il se venger de l'opinion publique ?
- Lorsque ni la discipline, ni la loi, ni l'esprit de parti ne font plus d'effet sur certaines gens, on doit penser à les dompter avec de petites faveurs.
- Un bon cheval ne devient jamais une rosse.
- L'homme est à la fois le centre du mal et la source du bien.
- De nos jours, le jeune dirige le vieux et le profane, le compétent.
- Pour pouvoir se tenir droit et respirer librement, il faut lutter.
- Perdre vaut mieux que posséder.
- Un bon secrétaire doit être capable d'entendre sans écouter, de regarder sans voir.
- Une oeuvre littéraire peut agir sur la réalité même qui lui a donné naissance.
- Il est facile d'agir comme un héros, mais difficile de supporter les flatteurs.
- Il y a dans l'univers, beaucoup de créatures qui volent très haut dans le ciel : certains y sont arrivés en recourant à leurs propres ailes, d'autres se sont fait porter là-haut par un coup de vent.
- Ce n'est pas en suivant les pas d'autrui qu'on arrive à tracer son chemin.
- La littérature est le chant du cœur du peuple et le peuple est l'âme de la littérature.
- L'absence de volonté et la lâcheté devant l'action représentent de grands défauts pour les dirigeants alors condamnés à l'impuissance.
- Les masses sont les professeurs des cadres, les professeurs des directeurs.