J'ai perdu ma force et ma vie, et mes amis et ma gaieté ; J'ai perdu jusqu'à la fierté qui faisait croire à mon génie.
Citation sur la vie d'Alfred de Musset :J'ai perdu ma force et ma vie, et mes amis et ma gaieté ; J'ai perdu jusqu'à la fierté qui faisait croire à mon génie.
Alfred de Musset est l'auteur de la citation sur la vie "J'ai perdu ma force et ma vie, et mes amis et ma gaieté ; J'ai perdu jusqu'à la fierté qui faisait croire à mon génie.".
Alfred de Musset est également l'auteur des citations :
- Douces ou amères, les larmes soulagent toujours.
- La vie est une rose dont chaque pétale est une illusion et chaque épine une réalité.
- Les deux grands secrets du bonheur : le plaisir et l'oubli.
- Je ne sais où va mon chemin mais je marche mieux quand ma main serre la tienne.
- Un souvenir heureux est peut-être sur terre Plus vrai que le bonheur.
- La moitié d'un violent amour, c'est presque une amitié.
- La vie, comme l'eau de mer, ne s'adoucit qu'en s'élevant vers le ciel.
- Malheur à celui qui, au milieu de la jeunesse, s'abandonne à un amour sans espoir.
- De quelque fol amour qu’on ait rempli son coeur Le désir est parfois moins grand que le bonheur.
- Arrive-t-il quelque bonheur ? Vite, à sa mère on le raconte ; C’est dans son sein consolateur Qu’on raconte ses pleurs ou sa honte.
- Je hais comme la mort l'état de plagiaire ; Mon verre n'est pas grand, mais je bois dans mon verre.
- L'absence ni le temps ne sont rien quand on aime.
- Ainsi va le monde ici-bas. Le temps emporte sur son aile Et le printemps et l'hirondelle, Et la vie et les jours perdus
- Pourquoi, dans ton oeuvre céleste, Tant d'éléments si peu d'accord ?
- La fortune, pour moi, n'est que la liberté. Elle a cela de beau, de remuer le monde, Que, dès qu'on la possède, il faut qu'on en réponde, Et que, seule, elle met à l'air la volonté.
- L’ennui fait le fond de la vie, c’est l’ennui qui a inventé les jeux, les distractions, les romans et l’amour.
- Je n'appartiens à personne ; quand la pensée veut être libre, le corps doit l'être aussi.
- Ma mère, à toi je me confie. Des écueils d'un monde trompeur Écarte ma faible nacelle. Je veux devoir tout mon bonheur A la tendresse maternelle.
- Prenez le temps comme il vient, le vent comme il souffle, la femme comme elle est.