
La peur de la mort est l'unique source des religions.
Citation sur la vie de Maurice Maeterlinck :La peur de la mort est l'unique source des religions.
Maurice Maeterlinck est l'auteur de la citation sur la vie "La peur de la mort est l'unique source des religions.".
Maurice Maeterlinck est également l'auteur des citations :
- L'intelligence est la faculté à l'aide de laquelle nous comprenons finalement que tout est incompréhensible.
- La nature ne veut pas le bonheur.
- Il est puéril de se demander où vont les choses et les mondes. Ils ne vont nulle part et ils sont arrivés.
- Si la trahison n’a pas accru la simplicité, la confiance plus haute, l’étendue de l’amour, on vous aura trahi bien inutilement, et vous pourrez vous dire qu’il n’est rien arrivé.
- Le silence est l'élément dans lequel se forment les grandes choses, pour qu'enfin elles puissent émerger, parfaites et majestueuses, à la lumière de la vie qu'elles vont dominer.
- Il n'y a rien qui soit plus menaçant que le bonheur, et chaque baiser qu'on donne peut éveiller un ennemi.
- Si vous aimez, ce n’est pas cet amour qui fait partie de votre destinée ; c’est la conscience de vous-même que vous aurez trouvée au fond de cet amour qui modifiera votre vie.
- On n'a que le bonheur qu'on peut comprendre.
- Il faut dire la vérité à quelqu'un qui va mourir... Il faut qu'il sache la vérité, sans cela il ne pourrait pas dormir...
- On est heureux quand on a dépassé l'inquiétude du bonheur.
- Si les astres étaient immobiles, le temps et l'espace n'existeraient plus.
- Quand on a remonté sa montre, est-ce du temps que l'on crée, ou l'heure de la mort qu'on nourrit ?
- Les années apprennent peu à peu, à tout homme, que la vérité seule est merveilleuse.
- Quelqu'un qui, depuis sa naissance, n'aurais jamais vu la mort, à qui l'on n'en aurait jamais parlé, en aurait-il l'idée ?
- Il n'arrive jamais de grands événements intérieurs à ceux qui n'ont rien fait pour les appeler à eux ; et cependant le moindre accident de la vie porte en lui la semence d'un grand événement intérieur.
- Les vieillards ont besoin de toucher quelquefois, de leurs lèvres, le front d'une femme ou la joue d'un enfant, pour croire encore à la fraîcheur de la vie et éloigner un moment les menaces de la mort.
- Je regarde avec stupéfaction ceux qui demeurent optimistes jusqu'à la fin de leur vie. Si j'étais Dieu, et si j'avais son âge, je serais découragé.
- S’il est incertain que la vérité que vous allez dire soit comprise, taisez-la.