Oui, c'est peut-être cela le bonheur, le sentiment apitoyé de notre malheur.

Oui, c'est peut-être cela le bonheur, le sentiment apitoyé de notre malheur.

Albert Camus est l'auteur de la citation sur la vie "Oui, c'est peut-être cela le bonheur, le sentiment apitoyé de notre malheur.".
Albert Camus est également l'auteur des citations :

• La liberté consiste d'abord à ne pas mentir. Là où le mensonge prolifère, la tyrannie s'annonce ou se perpétue.
• La terreur est l'hommage que de haineux solitaires finissent par rendre à la fraternité des hommes.
• Rien n'est plus méprisable que le respect fondé sur la crainte.
• J'ai compris qu'il ne suffisait pas de dénoncer l'injustice, il fallait donner sa vie pour la combattre.
• L'absurde, c'est la raison lucide qui constate ses limites.
• Tu ne seras jamais heureux si tu cherches continuellement de quoi est fait le bonheur. Tu ne vivras jamais si tu cherches toujours un sens à la vie.
• Que préfères-tu, celui qui veut te priver de pain au nom de la liberté ou celui qui veut t’enlever ta liberté pour assurer ton pain ?
• Le grand courage, c'est encore de tenir les yeux ouverts sur la lumière comme sur la mort.
• Que serait la justice sans la chance du bonheur ?
• L'habitude du désespoir est pire que le désespoir lui-même.
• Le bonheur est la plus grande des conquêtes, celle qu'on fait contre le destin qui nous est imposé.
• La liberté est un bagne aussi longtemps qu'un seul homme est asservi sur la terre.
• Le désespoir, comme l'absurde, juge et désire tout, en général et rien, en particulier.
• La certitude d'un dieu qui donnerait son sens à la vie surpasse de beaucoup en attrait le pouvoir impuni de mal faire.
• L'héroïsme est peu de chose, le bonheur est plus difficile.
• Lorsque nous serons tous coupables, ce sera la démocratie véritable.
• Dans l'univers du révolté, la mort exalte l'injustice. Elle est le suprême abus.
• On supporterait tellement mieux nos contemporains s’ils pouvaient de temps en temps changer de museaux.
• Celui qui désespère des événements est un lâche, mais celui qui espère en la condition humaine est un fou.
• Il y a dans les hommes plus de choses à admirer que de choses à mépriser.
• Se tuer, dans un sens, c'est comme au mélodrame, c'est avouer. C'est avouer qu'on est dépassé par la vie ou qu'on ne la comprend pas.
• Quant au bonheur, il n'a presqu'une seule utilité, rendre le malheur possible.
• Il n'est pas de punition plus terrible que le travail inutile et sans espoir.
• L'absurde est la notion essentielle et la première vérité.
• Il n'y a pas de honte à préférer le bonheur.
• Il y a seulement de la malchance à n'être pas aimé ; il y a du malheur à ne point aimer.
• En vérité, le chemin importe peu, la volonté d'arriver suffit à tout.
• Il n'y a pas d'ordre sans justice et l'ordre idéal des peuples réside dans le bonheur.
• Le bonheur, pourquoi le refuser ? En l’acceptant, on n’aggrave pas le malheur des autres et même ça aide à lutter pour eux. Je trouve regrettable cette honte qu’on éprouve à se sentir heureux.
• Nous finissons toujours par avoir le visage de nos vérités.
• Qu’est-ce que le bonheur sinon l’accord vrai entre un homme et l’existence qu’il mène ?
• Si la vérité fait mal, alors vivons dans la douleur plutôt que dans les chimères.
• Le sens de la vie supprimé, il reste encore la vie.
• L'important n'est pas de guérir, mais de vivre avec ses maux.
• Si l'homme échoue à concilier la justice et la liberté, alors il échoue à tout.
• Ce qu'on appelle raison de vivre est en même temps une excellente raison de mourir.
• La liberté, seule valeur impérissable de l'histoire.
• La vérité jaillira de l’apparente injustice.
• On a déclaré qu’il fallait d’abord la justice et que, pour la liberté, on verrait après ; comme si des esclaves pouvaient jamais espérer obtenir la justice.
• Il n'y a que l'amour qui nous rende à nous-mêmes.
• Nous vivons avec des idées qui, si nous les éprouvions vraiment, devraient bouleverser toute notre vie.
• Tout le malheur des hommes vient de l'espérance.
• L'agonie serait légère si elle n'était soutenue par l'espoir éternel. Pour que le dieu soit un homme, il faut qu'il désespère.
• L’espoir, au contraire de ce qu’on croit, équivaut à la résignation. Et vivre, c’est ne pas se résigner.
• Ni dans le coeur des individus ni dans les moeurs de la société, il n'y aura de paix durable tant que la mort ne sera pas mise hors la loi.
• Comme remède à la vie en société, je suggère les grandes villes : c'est le seul désert à notre portée.
• Un homme est toujours la proie de ses vérités.
• Question : Comment faire pour ne pas perdre son temps ? Réponse : L'éprouver dans toute sa longueur.
• C'est cela l'amour, tout donner, tout sacrifier sans espoir de retour.
• Il n'y a qu'un problème philosophique vraiment sérieux : c'est le suicide. Juger que la vie vaut ou ne vaut pas la peine d'être vécue, c'est répondre à la question fondamentale de la philosophie.