La seconde moitié de notre vie n'est employée qu'à porter le deuil de la première moitié.
Citation sur la vie d'Alphonse Karr :La seconde moitié de notre vie n'est employée qu'à porter le deuil de la première moitié.
Alphonse Karr est l'auteur de la citation sur la vie "La seconde moitié de notre vie n'est employée qu'à porter le deuil de la première moitié.".
Alphonse Karr est également l'auteur des citations :
- C'est ma part de bonheur dans la vie que je vais confier à ton coeur : Je t'aime.
- Un des grands inconvénients de la vie humaine, c’est que nous avons mis notre bonheur dans des choses impossibles et notre malheur dans des choses inévitables.
- La vérité est le nom que les plus forts donnent à leur opinion.
- Le bonheur n’est pas un gros diamant, c’est une mosaïque de petites pierres harmonieusement rangées.
- Les bonheurs sont comme le gibier, quand on les vise de trop loin, on les manque.
- Peut-être le bonheur n’est-il qu’un contraste, mais il y a une foule de petits bonheurs qui suffisent pour parfumer la vie.
- La première partie de la vie se passe à désirer la seconde ; la seconde à regretter la première.
- Si l'on veut gagner sa vie, il suffit de travailler. Si l'on veut devenir riche, il faut trouver autre chose.
- Les bonheurs durables sont ceux qui reculent à mesure que nous avançons.
- L’amitié n’existe pas plus entre deux femmes qu’entre deux épiciers domiciliés en face l’un de l’autre.
- Le bonheur consiste pour l’homme dans ce qu’il n’a pas ou dans ce qu’il n’a plus.
- Il en faut que quelques grelots ajoutés au bonnet de la liberté pour en faire le bonnet de la folie.
- La plus évidente des vérités ? Un mensonge qui nous plaît.
- Des malheurs évités, le bonheur se compose.
- Adieu, toi que j'ai tant aimée, que j'aime tant encore, toi qui as rempli pour jamais ma vie d'amour et de douleur. Adieu, je pleure en écrivant ce mot. Adieu... adieu !...
- Les auditoires ne se composent pas de gens qui écoutent, mais de gens qui attendent leur tour pour parler.
- Rien n’arrive dans la vie ni comme on le craint, ni comme on l’espère.