
Le divorce est un moyen légal pour une femme de rester honnête sans passer sa vie avec le même homme.
Citation sur la vie de Jules Renard :Le divorce est un moyen légal pour une femme de rester honnête sans passer sa vie avec le même homme.
Jules Renard est l'auteur de la citation sur la vie "Le divorce est un moyen légal pour une femme de rester honnête sans passer sa vie avec le même homme.".
Jules Renard est également l'auteur des citations :
- Un ami, c'est celui qui devine toujours quand on a besoin de lui.
- Si je devais recommencer ma vie, je n'y voudrais rien changer ; seulement j'ouvrirais un peu plus grand les yeux.
- Paresse : habitude prise de se reposer avant la fatigue.
- Pour nous punir de notre paresse, il y a, outre nos insuccès, les succès des autres.
- Nous voulons de la vie au théâtre, et du théâtre dans la vie.
- La vérité vaut bien qu'on passe quelques années sans la trouver.
- Je ne comprends rien à la vie, mais je ne dis pas qu'il soit impossible que Dieu y comprenne quelque chose.
- Il faut être discret quand on parle de son bonheur, et l'avouer comme si l'on se confessait d'un vol.
- La haine soutenant mieux que l'amitié, si l'on pouvait haïr ses amis on leur serait plus utile.
- L'épée de Damoclès : la suspension à la mode du temps.
- Si vous connaissez la vie, donnez-moi son adresse.
- La vie est courte, mais l'ennui l'allonge. Aucune vie n'est assez courte pour que l'ennui n'y trouve sa place.
- Lis toutes les biographies des grands morts, et tu aimeras la vie.
- Je ne désire rien du passé. Je ne compte plus sur l'avenir. Le présent me suffit. Je suis un homme heureux, car j'ai renoncé au bonheur.
- Il n’y a pas d’ami, il n’y a que des moments d’amitié.
- J'ai connu le bonheur, mais ce n'est pas ce qui m'a rendu le plus heureux.
- La bonne dupe que serait celui qui s'efforcerait d'être tout seul, dans la vie, un ami sûr.
- Avec une femme, l'amitié ne peut être que le clair de lune de l'amour.
- Le plus grand homme n'est qu'un enfant que la vie a trompé.
- Tous ceux qui ont vécu là ne sont pas nés en même temps que moi. Et les morts me disent : “Dépêche-toi de vivre !”
- Si le temps ne changeait jamais, la moitié des hommes n'auraient aucun sujet de conversation.
- Il n'y a là ni gaieté, ni philosophie. Il n'y a que de la tristesse mystérieuse, et de la douleur sans raison.
- La mort, ce serait le rêve si, de temps en temps, on pouvait ouvrir l'oeil.
- Si l'on veut vivre d'une vie humaine extérieure et retentissante, il ne faut ouvrir que quelques fenêtres de son cerveau, et laisser fermées les autres.
- Je suis venu ici ce soir parce que quand on se rend compte que l'on veut passer le reste de sa vie avec quelqu'un, on veut que le reste de sa vie commence le plus tôt possible.
- La vie est ce que notre caractère veut qu'elle soit. Nous la façonnons, comme un escargot sa coquille.
- Elever son âme de temps en temps comme on fait des haltères, par récréation et par hygiène.
- L'amitié, un oiseau d'amour qui a la queue coupée.
- En amitié, on progresse, en amour, on décroît.
- Héritage. La mort nous prend un parent, mais elle le paie, et il ne nous faut pas beaucoup d’argent pour qu’elle se fasse pardonner.
- L’amitié peut se passer longtemps de preuves.
- Pourquoi serait-il plus difficile de mourir, c'est-à-dire de passer de la vie à la mort, que de naître, c'est-à-dire de passer de la mort à la vie ?
- Quand on lit le récit d'une vie "exemplaire" comme celle de Balzac, on arrive toujours au récit de la mort. A quoi bon ?
- De temps en temps se retirer de ce qu'on fait, et gagner quelque hauteur pour respirer et dominer.
- Un véritable égoïste accepte même que les autres soient heureux, s'ils le sont à cause de lui.
- Vivre et juger sa vie : quel est l'homme capable des deux ?
- La fidélité pendant la vie, ce n'est rien ; mais mourir, paraître devant Dieu sans avoir trompé sa femme, quelle humiliation !
- Ce n'est pas difficile, d'être exquis de temps en temps ; mais l'être tout sa vie !...
- A la mort d'un ancien, on est comme sur une écluse : on change de niveau.
- La vie n'est ni longue ni courte ; elle a des longueurs.
- Le vrai bonheur serait de se souvenir du présent.
- Il y a des pièces en trois actes dont les deux premiers n’ont été faits que pour donner au public le temps de s’asseoir.
- Non seulement les auteurs n'acceptent que des éloges, mais encore ils exigent qu'on ne dise que la vérité. Comment faire ?
- C'est encore devant la mort que nous nous sentons le plus livresques.
- La vie est courte, mais comme c'est long, de la naissance à la mort.
- Je sais que la littérature ne nourrit pas son homme. Par bonheur, je n'ai pas très faim.
- C'est une grande preuve de noblesse que l'admiration survive à l'amitié.
- Un homme épris de la vérité n'a besoin d'être ni poète, ni grand. Il est l'un et l'autre sans le chercher.
- L'amitié vide plus que l'amour.
- Il y a de la place au soleil pour tout le monde, surtout quand tout le monde veut rester à l'ombre.
- Si l'on bâtissait la maison du bonheur, la plus grande pièce serait la salle d'attente.
- Le bonheur, c’est d’être heureux ; ce n’est pas de faire croire aux autres qu’on l’est.
- On ne comprend pas plus la vie à quarante ans qu'à vingt, mais on le sait, et on l'avoue. C'est ça la jeunesse.
- La peur de la mort fait aimer le travail, qui est toute la vie.
- Les critiques ont droit à de l'indulgence, qui parlent tout le temps des autres et dont on ne parle jamais.
- L'ironie est un élément du bonheur.
- Toutes les pièces de théâtre ont fini par créer un monde à côté de la vie, qui se fait illusion à lui-même et finit par se croire vivant.
- Le véritable courage consiste à être courageux précisément quand on ne l'est pas.
- Le temps passe par le trou de l'aiguille des heures.
- On ne meurt pas. La mort, c'est encore de la vie couvée.
- Il est aussi utile à un peuple de craindre la guerre qu’à un individu, la mort.
- Le véritable auteur d'un livre est celui qui le fait publier.
- La vie mène à tout, à condition d'en sortir.
- Il n'y a dans la vie que de l'exceptionnel.
- Amitié : mariage de deux êtres qui ne peuvent pas coucher ensemble.
- On pleure ainsi parce qu'on a dans la mémoire les larmes universelles que la mort a fait répandre.
- Tu n'as pas le souci de l'argent, du pain à gagner. Te voilà libre, et le temps t'appartient. Tu n'as qu'à vouloir. Mais il te manque de pouvoir.
- En sortant leur vérité du puits, les indiscrets répandent l'eau partout.
- Je suis passionné pour la vérité, et pour les mensonges qu'elle autorise.
- Le bonheur, la plus rapide des impressions.
- “Je ne m’occupe pas de politique”, c’est comme si vous disiez “Je ne m’occupe pas de la vie”.
- Dès qu’une vérité dépasse cinq lignes, c’est du roman.
- Il faut à l’amitié six mois de congé par an pour renouveler son répertoire. L’amour devrait en faire autant.
- Entre un homme et une femme, l’amitié ne peut être que la passerelle qui mène à l’amour.
- Nous passons par des états de corps étranges, comme si la mort nous faisait des signes de tête amicaux.
- Nous passons notre vie à causer de ce mystère : notre vie.
- Il n'y a pas d'amis : il y a des moments d'amitié.
- Il n'y a que le temps qui ne perde pas son temps.
- En amitié, quand on s'est confié ses secrets d'argent, ça tourne mal.
- La médecine n'a de certain que les espoirs trompeurs qu'elle nous donne.
- Maladies. Les essayages de la mort.
- Il y a des gens qui, toute leur vie, se contentent de dire : “Évidemment ! Parfaitement ! C'est horrible, admirable, extravagant, bien curieux.” Par eux-mêmes ils n'ont aucune valeur, mais ils sont d'un grand secours à autrui : ils lui servent de verbes a
- La vie est arrangée pour qu'à chaque instant le plus faible soit le plus fort, et que le plus bête ait le plus d'esprit.
- C'est si ennuyeux, le deuil ! A chaque moment, il faut se rappeler qu'on est triste.
- Le bonheur c'est de le chercher.
- La mort est douce : elle nous délivre de la pensée de la mort.
- Bucoliques. Le feu de bois. Toute cette fête, toute cette vie ! Puis cette agonie, puis cette mort, cette déboulée des bûches.
- Qu'importe le bonheur quand on n'a point la joie !
- Le temps perdu ne se rattrape jamais. Alors, continuons de ne rien faire.
- Les gens qui veulent suivre des règles m'amusent, car il n'y a dans la vie que de l'exceptionnel.
- Le bonheur est dans l'amertume.
- Il faut voyager pour agrandir la vie. Les plus hauts artistes se trouvent dans le monde des commis-voyageurs.
- Le goût mûrit aux dépens du bonheur.
- Il y a toujours, dans la plus spirituelle des femmes, une petite dinde qui ne prend jamais le temps de dormir.
- Il ne faut pas dire toute la vérité, mais il ne faut dire que la vérité.
- Il n'y a plus que la peur de mort qui les retienne à la vie.
- La nostalgie que nous avons des pays que nous ne connaissons pas n'est peut-être que le souvenir de régions parcourues en des voyages antérieurs à cette vie.
- Il y a toujours un peu de vide dans les amitiés les plus pleines, comme dans les oeufs.
- A chaque instant la vie passe à côté de son sujet. Il faut refaire tout ce qu'elle fait, récrire tout ce qu'elle crée.
- Il faut regarder la vérité en poète.
- Comme le souvenir que laisse un mort est supérieur à sa vie ! Il n’y a pas des déchets.
- Il ne suffit pas d'être heureux : il faut encore que les autres ne le soient pas.
- Il y a des moments où j’ai envie de mourir, Alors, la mort, ça m’est égal.
- La lettre qu'on n'a jamais reçue, d'où dépendait peut-être le bonheur de toute notre vie.
- Si d'une discussion pouvait sortir la moindre vérité, on discuterait moins.
- La préoccupation de la mort, c'est comme une nacelle d'où l'on peut voir, de haut, le petit monde.
- On n'est pas heureux : notre bonheur, c'est le silence du malheur.
- Il faut que l'homme libre prenne quelquefois la liberté d'être esclave.
- L'admiration se passe de l'amitié. Elle se suffit à elle-même.
- Le rêve, ce n'est que la vie éperdument dilatée.
- L'argent ne fait pas le bonheur, rendez-le !
- Notre égoïsme va si loin que nous croyons, en temps d'orage, qu'il ne tonne que pour nous.
- Le symbolisme. C'est toujours le “nous ferons route ensemble” des voyageurs qui partent en même temps. A l'arrivée, on se sépare.
- Dis quelquefois la vérité, afin qu'on te croie quand tu mentiras.
- La vie d'un honnête homme est quelque chose de très plat. Que lui reste-t-il, puisqu'il s'est retranché le désir de plaire ? Il aime sa femme, si l'on peut aimer une femme à qui l'on n'a pas à faire la cour.
- Un père a deux vies : la sienne et celle de son fils.
- Passer sa vie à se juger soi-même, c'est très amusant et, au fond, ce n'est pas bien malin.
- Il faudrait renaître une vie pour la peinture, une autre pour la musique, etc. En trois ou quatre cents ans, on pourrait peut-être se compléter.
- Quand un acteur est violent, le public ne résiste pas : il admire, non de confiance, mais de peur.
- La mort, si elle nous voyait pleurer, elle se tordrait.
- Suicide. On ne voit rien du tombeau, des horreurs de la mort, mais on a le désir infini de se mêler à la tristesse attirante des choses.
- Le théâtre n'est qu'un jeu qui se donne des airs de vie.
- Il ne faut point passer plus de temps à parler d'une pièce que l'auteur n'en a mis à l'écrire.
- La mort des autres nous aide à vivre.
- On ne s'habitue pas vite à la mort des autres. Comme ce sera long, quand il faudra s'habituer à la nôtre !
- L'homme est un animal qui a la faculté de penser quelquefois à la mort.
- Ceux qui ont le mieux parlé de la mort sont morts.