
On s'en va parce qu'on a besoin de distraction, et l'on revient parce qu'on a besoin de bonheur.
Citation sur la vie de Victor Hugo :On s'en va parce qu'on a besoin de distraction, et l'on revient parce qu'on a besoin de bonheur.
Victor Hugo est l'auteur de la citation sur la vie "On s'en va parce qu'on a besoin de distraction, et l'on revient parce qu'on a besoin de bonheur.".
Victor Hugo est également l'auteur des citations :
- On passe une moitié de sa vie à attendre ceux qu'on aimera et l'autre moitié à quitter ceux qu'on aime.
- Nos fautes sont des dettes contractées ici et payables ailleurs. L'athéisme n'est autre chose qu'un essai de déclaration d'insolvabilité.
- L'horizon souligne l'infini.
- Ouvrez des écoles vous fermerez des prisons.
- Les amis sont des anges silencieux, qui nous remettent sur nos pieds quand nos ailes ne savent plus comment voler.
- La mélancolie, c'est le bonheur d'être triste.
- La vie est une phrase interrompue.
- Sauvons la liberté, la liberté sauve le reste.
- La mélancolie, c'est le bonheur d'être triste.
- Ma vie est une énigme dont ton nom est le mot.
- L'inviolabilité de la vie humaine est le droit des droits.
- Une traduction est une annexion.
- Toute affirmation n'est pas un axiôme.
- Manifester la conscience, c'est presque montrer Dieu.
- La mort, c'est l'élargissement dans l'infini.
- La vie est passée avant qu'on ait pu vivre.
- C'est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain ne l'écoute pas.
- Le bonheur est parfois caché dans l'inconnu.
- La naïveté est le visage de la vérité.
- La vie est une fleur. L'amour en est le miel.
- On voit les qualités de loin et les défauts de près.
- Aujourd'hui, je suis reine. Autrefois j'étais libre.
- La philosophie est le microscope de la pensée.
- En littérature, le plus sûr moyen d'avoir raison, c'est d'être mort.
- L'homme fort dit : je suis. Et il a raison. Il est. L'homme médiocre dit également : je suis. Et lui aussi a raison. Il suit.
- Le chien a son sourire dans sa queue.
- Le beau n'est pas dégradé pour avoir servi à la liberté et à l'amélioration des multitudes humaines.
- Aimer, c'est savoir dire je t'aime sans parler.
- La moitié d'un amis, c'est la moitié d'un traître.
- Mes amis, retenez ceci, il n'y a ni mauvaises herbes ni mauvais hommes. Il n'y a que de mauvais cultivateurs.
- La liberté consiste à choisir entre deux esclavages : l'égoïsme et la conscience. Celui qui choisit la conscience est l'homme libre.
- La mer est un espace de rigueur et de liberté.
- La liberté commence où l'ignorance finit.
- Il est impossible d'admirer un chef-d'Ïuvre sans éprouver en même temps une certaine estime de soi.
- Il est toujours bon d'être bon.
- Au point de vue politique, il n'y a qu'un seul principe, la souveraineté de l'homme sur lui-même. Cette souveraineté de moi sur moi s'appelle Liberté.
- Et l’on reconnaîtra que, même au point de vue de notre égoïsme, il est difficile de composer le bonheur de l’homme avec la souffrance de la femme.
- Ô peuples, détrônez l’échafaud !... Lève-toi, sainte émeute de la vie contre la mort !
- Le bonheur est vide, le malheur est plein.
- Naît-on deux fois ? Oui. La première fois, le jour où l’on naît à la vie ; la seconde fois, le jour où l’on naît à l’amour.
- Comme, étant en possession du faux but de la vie, le bonheur, on oublie le vrai but, le devoir !
- La véritable indulgence consiste à comprendre et à pardonner les fautes qu'on ne serait pas capable de commettre.
- Au banquet du bonheur bien peu sont conviés.
- Ce qui caractérise essentiellement l'axiôme, ce n'est pas d'être clair, c'est d'être fécond.
- Il n'y a qu'une nécessité, la vérité ; c'est pourquoi il n'y a qu'une force, le droit.
- Inspirons, s'il est possible, à la nation l'amour de l'architecture nationale. C'est là, l'auteur le déclare, un des buts principaux de ce livre ; c'est là un des buts principaux de sa vie.
- Je resterai jusqu'à la mort le protestant de la liberté d’aimer.
- La vanité est la plus petite des petitesses.
- La vie, le malheur, l'isolement, l'abandon, la pauvreté, sont des champs de bataille qui ont leurs héros ; héros obscurs plus grands parfois que les héros illustres.
- Le travail, c'est tout ce que l'on est obligé de faire ; le jeu, c'est tout ce que l'on fait sans y être obligé.
- L'amour fait songer, vivre et croire Il a pour réchauffer le coeur Un rayon de plus que la gloire, Et ce rayon, c'est le bonheur.
- Rêver, c'est le bonheur ; attendre, c'est la vie.
- Ma vie se résume en deux mots : Solitaire - Solidaire.
- Aucune grâce extérieure n'est complète si la beauté intérieure ne la vivifie. La beauté de l'âme se répand comme une lumière mystérieuse sur la beauté du corps.
- L'amour, c'est l'absolu, c'est l'infini ; la vie, c'est le relatif et le limité. De là tous les secrets et profonds déchirements de l'homme quand l'amour s'introduit dans la vie. Elle n'est pas assez grande pour le contenir.
- Bien lire l’univers, c’est bien lire la vie.
- Le coeur de la femme s'attache parce qu'il donne ; le coeur de l'homme se détache parce qu'il reçoit.
- Oh ! L’amour d’une mère ! - amour que nul n’oublie ! (...) Chacun en a sa part, et tous l’ont tout entier !
- L'égoïsme est la rouille du moi.
- Tout ce qui augmente la liberté augmente la responsabilité.
- Le poète ne doit avoir qu'un modèle, la nature ; qu'un guide, la vérité.
- Il y a des instincts pour toutes les rencontres de la vie.
- Je veux que la République ait deux noms : qu’elle s’appelle Liberté, et qu’elle s’appelle chose publique.
- La liberté est. Elle a cela de commun avec Dieu qu'elle exclut le pluriel.
- La vie n’est qu’une longue perte de tout ce qu’on aime.
- Selon que vous serez fou ou sage, vous composerez les rêves de votre vieillesse des regrets de votre jeunesse ou des espérances de l'éternité !
- Ne confondez pas le sombre avec l'obscur. L'obscur accepte l'idée de bonheur ; le sombre accepte l'idée de grandeur.
- La conscience, […] Chose sombre que cet infini que tout homme porte en soi et auquel il mesure avec désespoir les volontés de son cerveau et les actions de sa vie !
- On tient pour suspectes l'induction et l'intuition ; l'induction, le grand organe de la logique ; l'intuition, le grand organe de la conscience.
- Avant de s'agrandir au dehors, il faut s'affermir au dedans.
- Une idée n'a qu'une expression. C'est cette expression là que le génie trouve.
- Le fond, c'est la forme.
- Le devoir a une grande ressemblance avec le bonheur d'autrui.
- Les écrivains ont mis la langue en liberté.
- Il y a toujours dans le bonheur, même des meilleures gens, un peu d'insolence aimable qui défie les autres d'en faire autant.
- C'est une des choses les plus difficiles et les plus nécessaires de la vie que d'apprendre à dédaigner. Le dédain protège et écrase. C'est une cuirasse et une massue.
- La volonté trouve, la liberté choisit. Trouver et choisir, c'est penser.
- N'est pas athée qui croit l'être. […] les grands athées sont rares.
- Dans tout fanfaron il y a un fuyard.
- L'esprit d'une bête, c'est de ne pas être sot.
- La science est obscure - peut-être parce que la vérité est sombre.
- "Chose étrange, après dix-huit siècles de progrès la liberté de l'esprit est proclamée ; la liberté de cÏur ne l'est pas. Et pourtant aimer n'est pas un moins grand droit de l'homme que penser."
- La volonté aboutit à un ajournement, l'utopie ; la science aboutit à un doute, l'hypothèse.
- Aucune vertu ne peut se loger dans la haîne.
- Un méchant peut donner un bon avis ; une chandelle pue, mais éclaire.
- L'homme est le travailleur du printemps, de la vie, De la graine semée et du sillon creusé, Et non le créancier livide du passé.
- Or le défaut supprime la perfection, et l'excès ne supprime pas la grandeur. Loin de là, il la constate.
- Quand on n'est pas intelligible, c'est qu'on n'est pas intelligent.
- La vérité, ce jour de l'âme humaine.
- Le dédain est la générosité du mépris.
- Tout le temps est perdu que l’amour ne prend pas.
- Il se passera du temps encore avant que la justice des hommes ait fait sa jonction avec la justice.
- Tout un art complet, la musique, admirable en Italie et plus admirable encore en Allemagne, appartient au rêve.
- Que peu de temps suffit pour changer toutes choses ! Nature au front serein, comme vous oubliez !
- Quand les vieillards croient gémir sur leur temps, ils se trompent ; ils ne gémissent que sur leur âge.
- La femme a une puissance singulière qui se compose de la réalité de la force et de l’apparence de la faiblesse.
- Il vient une heure où protester ne suffit plus : après la philosophie, il faut l’action.
- Les méchants envient et haïssent ; c'est leur manière d'admirer.
- Nul n'a l'honneur d'avoir une vie qui soit à lui.
- Mieux vaut une conscience tranquille qu'une destinée prospère. J'aime mieux un bon sommeil qu'un bon lit.
- Quand le peuple sera intelligent, alors seulement le peuple sera souverain.
- On ne souffre jamais que du mal que nous font ceux qu'on aime. Le mal qui vient d'un ennemi ne compte pas.
- Toutes les religions sont fausses par la surface qui est le dogme, et vraies par le fond qui est Dieu.
- Le travail est la meilleure des régularités et la pire des intermittences.
- Cette cloison qui nous sépare du mystère des choses et que nous appelons la vie.
- La vraie philosophie détourne des religions et pousse à la religion.
- Le théâtre est un point d'optique. Tout ce qui existe dans le monde, dans l'histoire, dans la vie, dans l'homme, tout doit et peut s'y réfléchir, mais sous la baguette magique de l'art.
- La confiance en soi fait le sot ; la foi en soi fait le grand homme.
- Un livre est quelqu'un. Ne vous y fiez pas. Un livre est un engrenage.
- Ne rien faire est le bonheur des enfants et le malheur des vieux.
- L'oisiveté est le plus lourd des accablements.
- Abîmes, abîmes, abîmes. C'est là le monde.
- Les exemples que nous donnons sont inévitablement, plus tard, nos ennemis ou nos auxiliaires ; au jour du danger, ils se lèvent et ils combattent pour nous ou contre nous.
- Dieu tombe goutte à goutte du ciel, et larme à larme de nos yeux.
- Nous avons notre ancre en nous-mêmes.
- Avec cette vente qu’on appelle la dot et ce tyran qu’on appelle l’époux, l’adultère n’est autre chose qu’une protestation de la première et de la plus sainte des libertés, la liberté d’aimer, contre l’esclavage de la femme et le despotisme du mariage.
- Monsieur, j'ai pour principe, écoutez bien cela, d'admirer l'admirable et de m'en tenir là.
- Les révolutions ont un besoin de liberté, c'est leur but, et un besoin d'autorité, c'est leur moyen.
- La vérité ajustée aux erreurs, voilà le péril.
- La dernière raison des rois, le boulet. La dernière raison des peuples, le pavé.
- L'axiôme doit être simple. Doit-il être clair ? Pas nécessairement. Simplicité et clarté, c'est deux.
- C'est une erreur de croire qu'une idée peut être rendue de plusieurs façons différentes.
- Les mathématiques ne sont pas une moindre immensité que la mer.
- L'insurrection est l'accès de fureur de la vérité.
- Je ne sais pourquoi je trouve du charme à regarder un champ inculte. Cela représente le possible.
- Qu'est-ce que la mort à tout prendre ? Un mauvais moment, un péage, le passage de peu de chose à rien.
- Chaque fois qu'on perd une habitude, il semble qu'on perde quelque chose de la vie. Et dans le fait la vie n'est que la plus longue de nos habitudes.
- L'idée sans le mot serait une abstraction ; le mot sans l'idée serait un bruit ; leur jonction est leur vie.
- Chose étrange, ce que nous aurons donné, c'est là ce qui nous restera.
- Quand le poète peint l'enfer, il peint sa vie.
- A mesure que l'homme avance dans la vie, il arrive à une sorte de possession invétérée des idées et des objets, qui n'est autre chose qu'une profonde habitude de vivre. Il devient à lui-même sa propre tradition.
- La liberté d'aimer n'est pas moins sacrée que la liberté de penser.
- Un peuple qui a la liberté, doit aussi avoir la volonté.
- Dans les temps anciens, il y avait des ânes que la rencontre d’un ange faisait parler.
- La vieillesse bien comprise est l'âge de l'espérance.
- En temps de révolution, qui est neutre est impuissant.
- Dans l’excès de bonheur, il y a peut-être quelque chose de pris à quelqu’un.
- Pourquoi Dieu met-il donc le meilleur de la vie tout au commencement ?
- Mais l'isolement n'est pas possible en temps d'élections, pas plus que la solitude au milieu d'un champs de bataille.
- Les bons sont meilleurs que les justes.
- Tout corps traîne son ombre et tout esprit son doute.
- Et de l’union des libertés dans la fraternité des peuples naîtra la sympathie des âmes, germe de cet immense avenir où commencera pour le genre humain la vie universelle et que l’on appellera la paix de l’Europe.
- Tout le monde a droit de vie ici-bas, et la mort de faim est un crime social.
- Que reste-t-il de la vie, Excepté d’avoir aimé ?
- La continuité des grands spectacles nous fait sublimes ou stupides. Dans les Alpes, on est aigle ou crétin.
- Le bonheur veut tout le monde heureux.
- Que ne te dois-je point ? O mère tant chérie, Tu me donnas le jour, Me nourris de ton Lait et je ne dois la vie Qu’à ton prudent amour.
- Dans l'homme, il y a l'abîme.
- Le propre de la vérité, c'est de manquer de complaisance.
- Pour l'esprit, être en travail, c'est être en extase.
- Depuis six mille ans, la guerre Plaît aux peuples querelleurs, Et Dieu perd son temps à faire Les étoiles et les fleurs.
- Il est impossible que deux têtes humaines conçoivent le même sujet absolument de même manière.