
En temps de révolution, qui est neutre est impuissant.
Citation sur la vie de Victor Hugo :En temps de révolution, qui est neutre est impuissant.
Victor Hugo est l'auteur de la citation sur la vie "En temps de révolution, qui est neutre est impuissant.".
Victor Hugo est également l'auteur des citations :
- On passe une moitié de sa vie à attendre ceux qu'on aimera et l'autre moitié à quitter ceux qu'on aime.
- L'amour fait songer, vivre et croire Il a pour réchauffer le coeur Un rayon de plus que la gloire, Et ce rayon, c'est le bonheur.
- Oh ! L’amour d’une mère ! - amour que nul n’oublie ! (...) Chacun en a sa part, et tous l’ont tout entier !
- Les amis sont des anges silencieux, qui nous remettent sur nos pieds quand nos ailes ne savent plus comment voler.
- Aimer, c'est savoir dire je t'aime sans parler.
- L'horizon souligne l'infini.
- Nos fautes sont des dettes contractées ici et payables ailleurs. L'athéisme n'est autre chose qu'un essai de déclaration d'insolvabilité.
- Ouvrez des écoles vous fermerez des prisons.
- Sauvons la liberté, la liberté sauve le reste.
- C'est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain ne l'écoute pas.
- La volonté trouve, la liberté choisit. Trouver et choisir, c'est penser.
- Dans les temps anciens, il y avait des ânes que la rencontre d’un ange faisait parler.
- La mélancolie, c'est le bonheur d'être triste.
- La mélancolie, c'est le bonheur d'être triste.
- Le chien a son sourire dans sa queue.
- Ô peuples, détrônez l’échafaud !... Lève-toi, sainte émeute de la vie contre la mort !
- La liberté d'aimer n'est pas moins sacrée que la liberté de penser.
- Toutes les religions sont fausses par la surface qui est le dogme, et vraies par le fond qui est Dieu.
- "Chose étrange, après dix-huit siècles de progrès la liberté de l'esprit est proclamée ; la liberté de cÏur ne l'est pas. Et pourtant aimer n'est pas un moins grand droit de l'homme que penser."
- La vie est passée avant qu'on ait pu vivre.
- La vie est une fleur. L'amour en est le miel.
- Les écrivains ont mis la langue en liberté.
- La dernière raison des rois, le boulet. La dernière raison des peuples, le pavé.
- Un méchant peut donner un bon avis ; une chandelle pue, mais éclaire.
- Ma vie est une énigme dont ton nom est le mot.
- Le théâtre est un point d'optique. Tout ce qui existe dans le monde, dans l'histoire, dans la vie, dans l'homme, tout doit et peut s'y réfléchir, mais sous la baguette magique de l'art.
- Le bonheur est parfois caché dans l'inconnu.
- Au point de vue politique, il n'y a qu'un seul principe, la souveraineté de l'homme sur lui-même. Cette souveraineté de moi sur moi s'appelle Liberté.
- Le poète ne doit avoir qu'un modèle, la nature ; qu'un guide, la vérité.
- Ne rien faire est le bonheur des enfants et le malheur des vieux.
- Une idée n'a qu'une expression. C'est cette expression là que le génie trouve.
- Dans tout fanfaron il y a un fuyard.
- La philosophie est le microscope de la pensée.
- Tout le temps est perdu que l’amour ne prend pas.
- La naïveté est le visage de la vérité.
- La mer est un espace de rigueur et de liberté.
- On tient pour suspectes l'induction et l'intuition ; l'induction, le grand organe de la logique ; l'intuition, le grand organe de la conscience.
- La vie est une phrase interrompue.
- Il y a toujours dans le bonheur, même des meilleures gens, un peu d'insolence aimable qui défie les autres d'en faire autant.
- La liberté consiste à choisir entre deux esclavages : l'égoïsme et la conscience. Celui qui choisit la conscience est l'homme libre.
- La véritable indulgence consiste à comprendre et à pardonner les fautes qu'on ne serait pas capable de commettre.
- Tout un art complet, la musique, admirable en Italie et plus admirable encore en Allemagne, appartient au rêve.
- Mes amis, retenez ceci, il n'y a ni mauvaises herbes ni mauvais hommes. Il n'y a que de mauvais cultivateurs.
- La liberté commence où l'ignorance finit.
- L'égoïsme est la rouille du moi.
- Le coeur de la femme s'attache parce qu'il donne ; le coeur de l'homme se détache parce qu'il reçoit.
- L'homme est le travailleur du printemps, de la vie, De la graine semée et du sillon creusé, Et non le créancier livide du passé.
- La continuité des grands spectacles nous fait sublimes ou stupides. Dans les Alpes, on est aigle ou crétin.
- Manifester la conscience, c'est presque montrer Dieu.
- La vanité est la plus petite des petitesses.
- Le travail, c'est tout ce que l'on est obligé de faire ; le jeu, c'est tout ce que l'on fait sans y être obligé.
- Mieux vaut une conscience tranquille qu'une destinée prospère. J'aime mieux un bon sommeil qu'un bon lit.
- On ne souffre jamais que du mal que nous font ceux qu'on aime. Le mal qui vient d'un ennemi ne compte pas.
- Que reste-t-il de la vie, Excepté d’avoir aimé ?
- Monsieur, j'ai pour principe, écoutez bien cela, d'admirer l'admirable et de m'en tenir là.
- Quand le peuple sera intelligent, alors seulement le peuple sera souverain.
- Ma vie se résume en deux mots : Solitaire - Solidaire.
- La vie n’est qu’une longue perte de tout ce qu’on aime.
- A mesure que l'homme avance dans la vie, il arrive à une sorte de possession invétérée des idées et des objets, qui n'est autre chose qu'une profonde habitude de vivre. Il devient à lui-même sa propre tradition.
- Le devoir a une grande ressemblance avec le bonheur d'autrui.
- Bien lire l’univers, c’est bien lire la vie.
- La liberté est. Elle a cela de commun avec Dieu qu'elle exclut le pluriel.
- Je veux que la République ait deux noms : qu’elle s’appelle Liberté, et qu’elle s’appelle chose publique.
- Il est impossible d'admirer un chef-d'Ïuvre sans éprouver en même temps une certaine estime de soi.
- Ce qui caractérise essentiellement l'axiôme, ce n'est pas d'être clair, c'est d'être fécond.
- Tout corps traîne son ombre et tout esprit son doute.
- En littérature, le plus sûr moyen d'avoir raison, c'est d'être mort.
- L'homme fort dit : je suis. Et il a raison. Il est. L'homme médiocre dit également : je suis. Et lui aussi a raison. Il suit.
- Une traduction est une annexion.
- La vie, le malheur, l'isolement, l'abandon, la pauvreté, sont des champs de bataille qui ont leurs héros ; héros obscurs plus grands parfois que les héros illustres.
- Chaque fois qu'on perd une habitude, il semble qu'on perde quelque chose de la vie. Et dans le fait la vie n'est que la plus longue de nos habitudes.
- Qu'est-ce que la mort à tout prendre ? Un mauvais moment, un péage, le passage de peu de chose à rien.
- N'est pas athée qui croit l'être. […] les grands athées sont rares.
- La moitié d'un amis, c'est la moitié d'un traître.
- Nul n'a l'honneur d'avoir une vie qui soit à lui.
- Tout le monde a droit de vie ici-bas, et la mort de faim est un crime social.
- Aujourd'hui, je suis reine. Autrefois j'étais libre.
- C'est une des choses les plus difficiles et les plus nécessaires de la vie que d'apprendre à dédaigner. Le dédain protège et écrase. C'est une cuirasse et une massue.
- Le fond, c'est la forme.
- Au banquet du bonheur bien peu sont conviés.
- L'inviolabilité de la vie humaine est le droit des droits.
- Le beau n'est pas dégradé pour avoir servi à la liberté et à l'amélioration des multitudes humaines.
- Le dédain est la générosité du mépris.
- La science est obscure - peut-être parce que la vérité est sombre.
- Toute affirmation n'est pas un axiôme.
- Je resterai jusqu'à la mort le protestant de la liberté d’aimer.
- On voit les qualités de loin et les défauts de près.
- Et l’on reconnaîtra que, même au point de vue de notre égoïsme, il est difficile de composer le bonheur de l’homme avec la souffrance de la femme.
- Le bonheur est vide, le malheur est plein.
- Il n'y a qu'une nécessité, la vérité ; c'est pourquoi il n'y a qu'une force, le droit.
- Les mathématiques ne sont pas une moindre immensité que la mer.
- Pour l'esprit, être en travail, c'est être en extase.
- Il est impossible que deux têtes humaines conçoivent le même sujet absolument de même manière.
- La mort, c'est l'élargissement dans l'infini.
- L'idée sans le mot serait une abstraction ; le mot sans l'idée serait un bruit ; leur jonction est leur vie.
- L'amour, c'est l'absolu, c'est l'infini ; la vie, c'est le relatif et le limité. De là tous les secrets et profonds déchirements de l'homme quand l'amour s'introduit dans la vie. Elle n'est pas assez grande pour le contenir.
- La femme a une puissance singulière qui se compose de la réalité de la force et de l’apparence de la faiblesse.
- Les méchants envient et haïssent ; c'est leur manière d'admirer.
- Naît-on deux fois ? Oui. La première fois, le jour où l’on naît à la vie ; la seconde fois, le jour où l’on naît à l’amour.
- Il est toujours bon d'être bon.
- Cette cloison qui nous sépare du mystère des choses et que nous appelons la vie.
- L'axiôme doit être simple. Doit-il être clair ? Pas nécessairement. Simplicité et clarté, c'est deux.
- On s'en va parce qu'on a besoin de distraction, et l'on revient parce qu'on a besoin de bonheur.
- Un peuple qui a la liberté, doit aussi avoir la volonté.
- Dans l’excès de bonheur, il y a peut-être quelque chose de pris à quelqu’un.
- Quand le poète peint l'enfer, il peint sa vie.
- Que peu de temps suffit pour changer toutes choses ! Nature au front serein, comme vous oubliez !
- Chose étrange, ce que nous aurons donné, c'est là ce qui nous restera.
- Les bons sont meilleurs que les justes.
- Le travail est la meilleure des régularités et la pire des intermittences.
- La conscience, […] Chose sombre que cet infini que tout homme porte en soi et auquel il mesure avec désespoir les volontés de son cerveau et les actions de sa vie !
- Il y a des instincts pour toutes les rencontres de la vie.
- Il vient une heure où protester ne suffit plus : après la philosophie, il faut l’action.
- La confiance en soi fait le sot ; la foi en soi fait le grand homme.
- Un livre est quelqu'un. Ne vous y fiez pas. Un livre est un engrenage.
- Je ne sais pourquoi je trouve du charme à regarder un champ inculte. Cela représente le possible.
- Nous avons notre ancre en nous-mêmes.
- Inspirons, s'il est possible, à la nation l'amour de l'architecture nationale. C'est là, l'auteur le déclare, un des buts principaux de ce livre ; c'est là un des buts principaux de sa vie.
- L'oisiveté est le plus lourd des accablements.
- La vérité ajustée aux erreurs, voilà le péril.
- Quand on n'est pas intelligible, c'est qu'on n'est pas intelligent.
- Abîmes, abîmes, abîmes. C'est là le monde.
- Avant de s'agrandir au dehors, il faut s'affermir au dedans.
- Il se passera du temps encore avant que la justice des hommes ait fait sa jonction avec la justice.
- Le propre de la vérité, c'est de manquer de complaisance.
- L'insurrection est l'accès de fureur de la vérité.
- Or le défaut supprime la perfection, et l'excès ne supprime pas la grandeur. Loin de là, il la constate.
- Quand les vieillards croient gémir sur leur temps, ils se trompent ; ils ne gémissent que sur leur âge.
- Rêver, c'est le bonheur ; attendre, c'est la vie.
- Tout ce qui augmente la liberté augmente la responsabilité.
- Et de l’union des libertés dans la fraternité des peuples naîtra la sympathie des âmes, germe de cet immense avenir où commencera pour le genre humain la vie universelle et que l’on appellera la paix de l’Europe.
- Les révolutions ont un besoin de liberté, c'est leur but, et un besoin d'autorité, c'est leur moyen.
- Aucune vertu ne peut se loger dans la haîne.
- Depuis six mille ans, la guerre Plaît aux peuples querelleurs, Et Dieu perd son temps à faire Les étoiles et les fleurs.
- Le bonheur veut tout le monde heureux.
- Dieu tombe goutte à goutte du ciel, et larme à larme de nos yeux.
- Aucune grâce extérieure n'est complète si la beauté intérieure ne la vivifie. La beauté de l'âme se répand comme une lumière mystérieuse sur la beauté du corps.
- La vraie philosophie détourne des religions et pousse à la religion.
- Comme, étant en possession du faux but de la vie, le bonheur, on oublie le vrai but, le devoir !
- L'esprit d'une bête, c'est de ne pas être sot.
- Les exemples que nous donnons sont inévitablement, plus tard, nos ennemis ou nos auxiliaires ; au jour du danger, ils se lèvent et ils combattent pour nous ou contre nous.
- Avec cette vente qu’on appelle la dot et ce tyran qu’on appelle l’époux, l’adultère n’est autre chose qu’une protestation de la première et de la plus sainte des libertés, la liberté d’aimer, contre l’esclavage de la femme et le despotisme du mariage.
- C'est une erreur de croire qu'une idée peut être rendue de plusieurs façons différentes.
- Dans l'homme, il y a l'abîme.
- La vieillesse bien comprise est l'âge de l'espérance.
- La volonté aboutit à un ajournement, l'utopie ; la science aboutit à un doute, l'hypothèse.
- La vérité, ce jour de l'âme humaine.
- Mais l'isolement n'est pas possible en temps d'élections, pas plus que la solitude au milieu d'un champs de bataille.
- Selon que vous serez fou ou sage, vous composerez les rêves de votre vieillesse des regrets de votre jeunesse ou des espérances de l'éternité !
- Ne confondez pas le sombre avec l'obscur. L'obscur accepte l'idée de bonheur ; le sombre accepte l'idée de grandeur.
- Que ne te dois-je point ? O mère tant chérie, Tu me donnas le jour, Me nourris de ton Lait et je ne dois la vie Qu’à ton prudent amour.
- Pourquoi Dieu met-il donc le meilleur de la vie tout au commencement ?