Que les citoyens donnent plus volontiers leur vie que leur argent, voilà un paradoxe assez fort.

Citation sur la vie d'Alain :

Que les citoyens donnent plus volontiers leur vie que leur argent, voilà un paradoxe assez fort.

Alain est l'auteur de la citation sur la vie "Que les citoyens donnent plus volontiers leur vie que leur argent, voilà un paradoxe assez fort.".
Alain est également l'auteur des citations :

• On peut tromper une personne mille fois. On peut tromper mille personne une fois. Mais on ne peut pas tromper mille personnes, mille fois.
• La vie est un travail qu'il faut faire debout.
• Il faut être heureux et y mettre du sien. Si l’on reste dans la position du spectateur impartial, laissant seulement entrée au bonheur et portes ouvertes, c’est la tristesse qui entrera.
• Je passe tout mon temps à comprendre le temps.
• La vraie liberté est celle dont on profite sans condition.
• Voici le bonheur, voici ce que tu as cherché pendant toute ta jeunesse, voici la jeune fille qui était à la fin de tous tes rêves !
• L’art n'exige pas seulement la passion, il veut avant tout la vérité, et d'abord, la vérité de la passion.
• Le présent se dégrade, d'abord en histoire, puis en nostalgie.
• La philosophie française a été moins un monument original, créateur de l'histoire intellectuelle, qu'une simple excroissance épigonale.
• Mon but est de réinventer, de reconstruire la catégorie de vérité.
• Ferme les yeux, et le monde devient celui que tu veux.
• La tragédie de l'amour tient à ce qu'il n'échappe pas à la dimension temporelle. Quand on partage la vie d'un être aimé, il y a une cruauté toute spéciale à constater combien nos anciennes amours nous sont devenues indifférentes.
• L'espérance d'un destin n'est jamais aussi forte que dans notre vie sentimentale.
• Il n'y a de redoutable au monde que l'homme qui s'ennuie.
• Mettre le cap sur le temps qui nous reste à vivre avec l'assurance que celui que nous avons vécu jusque-là ne compte pour ainsi dire pas.
• La plupart du temps, nous mourons de faiblesse, nous ne mourons de ne rien oser.
• Il faut s'interroger, discerner les inégalités qui ne bafouent pas les libertés fondamentales et celles qui portent atteinte à la liberté humaines qui doivent être réformées.
• Il est bien vrai que nous devons penser au bonheur d’autrui ; mais on ne dit pas assez que ce que nous pouvons faire de mieux pour ceux qui nous aiment, c’est encore d’être heureux.
• La volonté ne peut rien sans l'espoir. L'amour sans l'espoir devient une chose morte.
• Un critère doit s'imposer à toutes les composantes culturelles ou communautaires de la vie sociale : qu'elles respectent l'individualité en leur sein.
• Une véritable passion se doit d'être solitaire, farouche, jalouse de toute activité sans rapport direct avec elle.
• Doctambule : érudit de la vie nocturne.
• Je n'ai pas vraiment peur de la mort. Je pense à la vie.
• L'homme n'est heureux que de vouloir et d'inventer.
• Les êtres humains s’ennuient tellement qu’il leur faut ces romans pour s’inventer d’autres vies.
• Le problème avec le bonheur, c'est qu'en raison de sa rareté même il apparaît comme immensément terrifiant et angoissant d'en accepter l'offrande.
• La philosophie, à contre-courant, c'est tenir l'inapparence du vrai et du différent contre l'universelle présentation en portrait.
• L'esprit échappe à la succession des heures et des jours ; il crée lui-même son propre temps et aussi sa liberté.
• J'ai tout connu et j'ai tout recu. Mais le vrai bonheur, c'est donner.
• Calindrier : système de division du temps en baisers, en touche-moi et en mamours.
• La vie, qui crée le désespoir, est plus forte que le désespoir.
• La grâce est un bonheur d’expression et de mouvement qui n’inquiète et ne blesse personne.
• Les rêves vivent leur vie de rêves et leur réalité naît de la nôtre comme l'ombre de la lumière.
• Le téléphone n'est pas un traitement de texte. Il ne donne au locuteur qu'une seule chance.
• Peut-être quand nous mourrons, peut-être la mort seule nous donnera la clef et la suite et la fin de cette aventure manquée.
• L'argent va à ceux qui l'honorent.
• Le mal intime de l'homme moderne, c'est la privation de liberté.
• Toute figure exemplaire est nourricière de confiance.
• Le bonheur nous inonde quand on découvre qu'on est capables de quelque chose dont on ne savait pas que nous étions capables.
• Fainéhantise : peur obsédante de la paresse, du temps mort, de la durée non remplie.
• Le bonheur est euphorisant pour qui ne le fréquente pas.
• L'art ne doit jamais d'illustrer une vérité connue à l'avance, mais doit mettre au monde des interrogations qui ne se connaissent pas encore.
• Pour la plupart des gens, la lecture, c'est du temps perdu. Et, chose autrement grave, du temps perdu avec ennui.
• Si l'esprit est libre, et si Dieu est esprit, il s'offre une grâce et un secours, qui n'est pas autre chose que la liberté même.
• Le propre des hommes passionnés est de ne pas croire un seul mot de ce que l'on écrit sur les passions.
• C'en est fini du vent léger qui laisse aux fleurs leur pollen le vent de sang qui vient des plaines plombe nos vies de son danger.
• Pistonner : hurler de bonheur en urinant.
• Il faut être têtu dans cette triste vie. Si l'on écoutait l'avis de tout le monde, on ne ferait jamais rien. Même pas de sottises
• Il faut avoir subi les rigueurs de la vie pour en savourer les joies simples.
• La vie n'a pas de sens, seule chaque vie individuelle a un sens, donné par celui qui vit cette vie. L'individu trace son trait et disparaît.
• Le pessimisme est affaire d'humeur, l'optimisme est affaire de volonté.
• Le bonheur n’est pas quelque chose que l’on poursuit, mais quelque chose que l’on a. Hors de cette possession il n’est qu’un mot.
• Il y a toujours dans le bonheur une touche aventureuse, qui fait qu’il n’est pas un état stable.
• La maladie ne prend pas son temps. Seule une vie peut donner l'impression de calmer son impatience.
• Un homme qui a fait une fois un bond dans le Paradis, comment pourrait-il s'accommoder ensuite de la vie de tout le monde ?
• En vérité, la civilisation n'a apporté qu'une seule religion, celle de l'argent.
• Avant d'être effectivement mort (et dans ce cas, la chose devient impossible), il est difficile de considérer qui que ce soit comme le grand amour de sa vie.
• Ne faut-il pas croire dans la vie pour réciter de la poésie ?
• Deux êtres ont cessé de s'aimer lorsqu'ils ne sont plus capables de transformer en bonnes blagues leurs différends.
• Le motif pour lequel se produisent les disputes n'est jamais aussi grave que le malaise qui en découle.
• Un fou qui dit par hasard le vrai n'a pas la vérité.
• Il n’y a guère que le sublime qui puisse nous aider dans l’ordinaire de la vie.
• La liberté ne peut pas être une institution. La liberté n'existe que dans le mouvement de conquête de la liberté.
• Les philosophes croient faire leur miel de tout, mais ce n'est que de la cire.
• Je cherche la clé des évasions vers ces pays désirés, et c'est peut-être la mort.
• Une amitié qui ne peut pas résister aux actes condamnables de l'ami n'est pas une amitié.
• La sympathie, l’amitié, l’amour rendent vulnérables et nous encouragent à céder là où l’on eût pour soi résisté.
• Un travail réglé et des victoires après des victoires, voilà sans doute la formule du bonheur.
• Faire et non subir, tel est le fond de l'agréable.
• Toutes les richesses du monde ne valent pas un instant de bonheur. Tous les pouvoirs du monde ne valent pas un moment d'amour. Toutes les puissances du monde ne valent pas un éclat de joie.
• Parce que, au fond, c'est ça l'amour : une déclaration d'éternité qui doit se réaliser ou se déployer comme elle peut dans le temps.
• Punir est devenu un cas particulier de notre devoir général de prendre acte de la responsabilité individuelle dans une société de liberté.
• On supporte moins aisément la passion que la maladie. Il y a toujours du remords et de l'épouvante dans la passion.
• C'est presque tout que de savoir lire.
• On nous réconcilia ; nous nous embrassâmes, et depuis ce temps-là nous sommes ennemis mortels.
• Tactic : ensemble des moyens et des ruses mis en oeuvre pour remonter le temps.
• Il faut prêcher sur la vie, non sur la mort ; répandre l'espoir et non la crainte ; et cultiver en commun la joie, vrai trésor humain. C'est le grand secret des sages et ce sera la lumière de demain.
• Les temps sont courts à celui qui pense, et interminables à celui qui désire.
• Si on ne suppose pas que les hommes ont tous la même intelligence, et l'ont toute, il n'y a plus ni vérité ni erreur.
• On n’aime guère un bonheur qui vous tombe ; on veut l’avoir fait.
• Toutes nos erreurs sont des jugements téméraires, et toutes nos vérités, sans exception, sont des erreurs redressées.
• Faire plaisir, n’est-ce pas être menteur, flatteur, courtisan ?
• Si vous vous mêlez de dire des vérités désagréables à l’homme qui peut vous ouvrir les chemins, ne dites point que vous vouliez passer.
• L'amour est une poursuite solitaire, dont la signification ne peut être comprise, au mieux, que par une seule autre personne : celle que nous aimons.
• Le bonheur est une récompense qui vient à ceux qui ne l'ont pas cherchée.
• On ne tombe amoureux que lorsqu'on a mesuré la profondeur des eaux dans lesquelles on va plonger.
• Résistance et obéissance, voilà les deux vertus du citoyen. Par l'obéissance il assure l'ordre ; par la résistance, il assure la liberté.
• On prononce certains mots non pour qu'ils soient entendus mais parce qu'on juge important de s'exprimer.
• L’erreur est de croire que l’action court au plaisir ; car le plaisir accompagne l’action.
• La vraie méthode pour former la notion de philosophie, c'est de penser qu'il y eut des philosophes.
• - Si vous finissez à temps, il y aura de l'or pour tout le monde ! - Ca fait plaisir. - Sinon, les crocodiles ! - Ca fait pas plaisir...
• C’est de toi que j’attends toute ma force, toute ma vertu, toute mon audace, tout mon mépris de la mort.
• Comme la fraise a goût de fraise, la vie a goût de bonheur.
• Les plus beaux jours de ma vie sont ceux où j'ai pensé le plus ardemment à vous.
• Il n'est pas de tyran au monde qui aime la vérité ; la vérité n'obéit pas.
• Il n'y a pas de pensée sans corps, mais en même temps, il n'y a pas non plus de corps sans pensée.
• Le bonheur n’est pas le fruit de la paix, le bonheur c’est la paix même.
• Chercher la confirmation de son moi dans les yeux d'autrui revient à se regarder dans les miroirs déformants d'une fête foraine.
• La psychologie de notre temps ne se relèvera point de son erreur principale qui est d'avoir trop cru les fous et les malades.
• Tous les maux humains, sans excepter la guerre, viennent de ce que l'on croit trop vite et avec bonheur.
• Le Parisien adore qu’on lui dise que sa vie n’est pas une vie. Il se flatte de son endurance.
• Sage, le sourire est sensible ; Fou, le rire est insensible.
• C'est toujours par l'ennui et ses folies que l'ordre social est rompu.
• L’un de mes plus grands bonheurs est d’avoir donné la réplique à Michel Simon dans un film…
• Quand un homme a peur, la colère n'est pas loin. L’irritation suit l’excitation.
• Le voyage, comme l'amour, représente une tentative pour transformer un rêve en réalité.
• Acceptez les ans, la spirale des saisons, le vertige des plantes qui se désespèrent, reprennent espoir et vont au feu.
• Un noble mensonge demande moins de force qu'une cruelle vérité.
• Qui n’a point de ressources en lui-même, l’ennui le guette et bientôt le tient.
• Le bonheur est toujours une exception, quelque chose qui s’arrache aux lois ordinaires de l’existence.
• On peut défaire n’importe quel bonheur par la mauvaise volonté.
• L'acclamation a fait tous les maux de tous les peuples. Le citoyen se trouve porté au-delà de son propre jugement, le pouvoir acclamé se croit aimé et infaillible ; toute liberté est perdue.
• Il faut que la pensée voyage et contemple, si l'on veut que le corps soit bien.
• Nous traînons toute notre vie des chapelets de mauvais vers et de maximes creuses qui nous font buter à chaque pas.
• Chacun apprend à penser en même temps qu'il apprend à parler.
• Il n'y a de bonheur possible pour personne sans le soutien du courage.
• Il y a chez elle une confiance, une joie et une force cachées qu'il faut découvrir, comme une source entre les feuilles.
• Quelle chose merveilleuse serait la société des hommes, si chacun mettait de son bois au feu, au lieu de pleurnicher sur des cendres !
• Le philosophe est le marchand de sommeil des élites.
• Toute douleur veut être contemplée, ou bien elle n'est pas sentie du tout.
• Tout plaisir est vil qui fleurit sur la mort.
• Il y a plus de volonté qu'on ne croit dans le bonheur.
• Le théâtre est comme la messe ; pour en bien sentir les effets il faut y revenir souvent.
• On peut donner vie aux problèmes rien qu'en y pensant.
• Le téléphone, livré aux mains démoniaques de la bien-aimée qui n'appelle pas, devient un instrument de torture.
• C'est un grand art quelquefois de vouloir ce que l'on est assuré de désirer.
• Dès qu'un homme cherche le bonheur il est condamné à ne pas le trouver. Quand il paraît être dans l'avenir, songez-y bien, c'est que vous l'avez déjà. Espérer, c'est être heureux.
• L'un des pires inconvénients de l'amour est que - un certain temps du moins - il risque de nous rendre heureux.
• Refais chaque jour le serment d’être heureux.
• Michel-Ange ne s’est pas mis à peindre parce qu’il avait toutes ces figures dans la tête. Seulement il se mit à peindre, et les figures se montrèrent.
• Espérer, c'est être heureux.
• Comme on vit mal avec ceux que l’ont connaît trop.
• L’égoïste est triste parce qu’il attend le bonheur.
• On devrait bien enseigner aux enfants l'art d'être heureux quand les circonstances sont passables et que toute l'amertume de la vie se réduit à de petits ennuis et à de petits malaises.
• C'est la foi même qui est Dieu.
• Plus l'existence est difficile, mieux on supporte les peines et mieux on jouit des plaisirs.
• La vie privée est toujours triste , si chacun attend le bonheur comme quelque chose qui lui est dû.
• Il n’est pas difficile d’être malheureux ou mécontent ; il suffit de s’asseoir, comme fait un prince qui attend qu’on l’amuse.
• Les plaisirs de l'amour font oublier l'amour du plaisir.
• Une preuve de la liberté tuerait la liberté.
• Nous n'avons pas toujours assez de force pour supporter les maux d'autrui.
• Un comédien c'est une vocation, un métier qui s'apprend, c'est un choix de vie. Un acteur c'est une personnalité, forte en général, prise et mise au service du cinéma par un concours de circonstances.
• C'est un devoir aussi envers les autres que d'être heureux.
• La mort est une maladie de l'imagination.
• Aimer, c’est trouver sa richesse hors de soi.
• Le bonheur est une chose terrible à supporter. Surtout lorsque ce bonheur n'est pas celui pourquoi on avait arrangé toute sa vie.